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Un groupe chinois rachète 1 700 hectares de terres agricoles dans l’Indre

Que fait la SAFER?
Dans le cas des investisseurs chinois des SCA de l’Indre, elle ne peut rien faire« . Au point que la Safer a appris que des exploitations agricoles avaient changé de main par des on-dit, et au final, par les journaux, plus d’un an après que la première opération eut lieu. Les investisseurs chinois n’ont pas racheté intégralement les exploitations agricoles, ils ont racheté toutes les parts sociales, moins quelques unes, qu’ils ont laissées aux anciens propriétaires

Certes, mais l’acquisition dans le Berry ne s’est pas faite totalement dans les règles de l’art. Le groupe China Hongyang n’a racheté que 98 % des parts des exploitations berrichonnes et ce par l’intermédiaire d’un homme d’affaires très discret, Marc Fressange fondateur de Wanadoo et de Ouhlàlà, une entreprise spécialisée dans la commercialisation de vin français en Chine (sollicité à plusieurs reprises, celui-ci n’a pas donné suite à nos demandes d’interviews). L’administration s’est d’ailleurs saisie de ce dossier. Entrée en vigueur le 1er avril — soit avant le rachat des terres du Berry — la loi d’avenir sur l’agriculture impose en effet (article 29) à tout nouveau propriétaire d’obtenir l’autorisation du préfet avant toute exploitation de terres. En se basant sur cette loi, l’Etat vient de déposer deux mises en demeure aux propriétaires chinois de l’Indre pour leur interdire de poursuivre leurs semis… N’est-ce pas là un exemple de patriotisme économique mal placé ? Pour la FNSEA, le syndicat agricole majoritaire, le problème est celui de l’installation de jeunes exploitants français, rendue forcément plus compliquée par l’arrivée de richissimes investisseurs et la spéculation qui peut en découler.

2018-09-10T11:49:13+01:00novembre 29th, 2016|Agriculture|Commentaires fermés sur Un groupe chinois rachète 1 700 hectares de terres agricoles dans l’Indre

Achat de terres par des sociétés chinoises dans l’Indre

Normalement les achats de terres agricoles sont réservés en priorité aux agriculteurs qui en ont le plus besoin. Encore faut il qu’ils aient les moyens de les acheter, ce qui est de plus en plus rare avec la crise agricole actuelle. La tendance est même à la vente, histoire de se désendetter. Normalement aussi, la Société d’Aménagement Foncier et d’Etablissement Rural (SAFER) dispose d’un droit de préemption afin de contribuer à une juste répartition des terres disponibles. Ce qu’elle fait de moins en moins.
Selon Emmanuel Hyest, président de la SAFER cité par notre confrère La Croix de ce jour, « toutes les terres agricoles vendues en France doivent être notifiées par notaire. Nous avons même un droit de préemption, confirme-t-il, si les prix ne correspondent pas au marché ou si la vente ne répond pas aux objectifs des politiques publiques, comme la préservation du modèle d’agriculture familiale ». Voilà pour la méthode.
Mais le mandataire des acheteurs chinois est allé voir des paysans en grande difficulté, lestés d’un endettement très lourd. Et leur a proposé un moyen de se désendetter en cédant aux investisseurs chinois jusqu’à 98% des parts dans une le cadre de la constitution d’une Société Agricole. Il apparaît donc qu’il existe une faille dans le système de contrôle des transactions mis en place par la SAFER de l’aveu même de son président : « Il suffit de vendre 100% de la société moins une part », laisse-t-il entendre pour que l’opération qui a permis aux investisseurs chinois d’acheter 1.700 hectares de terres céréalières ne puisse pas être contestée par la SAFER.
Il est donc grand temps de modifier la législation pour éviter le développement d’une pratique dangereuse pour l’intérêt national et pour notre souveraineté alimentaire. Car ce qui caractérise la crise agricole actuelle, aggravée ces derniers mois par la chute des cours, du blé, du maïs, de la viande bovine , de la viande porcine et de lait de vache , c’est à la fois la chute du revenu des exploitant et l’augmentation de leur taux d’endettement. Ceux qui sont propriétaires de tout ou partie des terres qu’ils exploitent peuvent alors être nombreux à considérer que vendre des parts à un investisseur étranger afin de récupérer de l’argent pour payer ses dettes et continuer de produire devient le seul moyen de garder son métier.
Usant d’une faille pour contourner les protections mises en place pour protéger l’achat de terres agricoles en France, un groupe chinois a fait main basse sur près de deux mille hectares dans l’Indre en achetant trois exploitations. Et des négociations seraient en cours pour l’acquisition d’une quatrième.

Cette mystérieuse société chinoise a racheté l’année dernière 1 700 hectares de terre agricole dans l’Indre. Des acquisitions qui manquent cruellement de transparence et commencent à inquiéter.
Si on connaît l’engouement des riches Chinois pour les vignobles bordelais, leur intérêt soudain pour les exploitations agricoles était, lui, moins prévisible.
Le groupe China Hongyang, spécialisé dans la fabrication et la commercialisation… d’équipements pour les stations-service et l’industrie pétrolière a pourtant acquis, l’an dernier, 1700 hectares de terres agricoles dans le département de l’Indre. C’est la «branche investissement» de ce groupe qui a racheté, à prix d’or, ces parcelles à trois exploitants. Beijing Reward International Trade, l’une des filiales de ce trust produit et commercialise du lait en poudre.
à ce jour, rien n’a filtré quant à l’utilisation que ces firmes chinoises comptent faire de ces terres.

La Safer (Société pour l’aménagement foncier rural), censée être informée de toute cession, estime dans un communiqué que «les productions agricoles du groupe seraient destinées à l’exportation», au pays du Soleil levant.
«Les investisseurs sont allés voir les exploitants qui tiennent une structure individuelle, leur ont demandé de se mettre en société agricole de type Société en commandite par actions (SCA) avant de racheter 98 % des parts sociales», détaille Hervé Coupeau, président de la Fédération des syndicats d’exploitants agricoles (FDSEA) de l’Indre.
Un montage qui supprime toute obligation de droit de regard puisque la cession des parts de société agricole n’atteignant pas les 100 %, les actionnaires ne sont pas obligés d’en référer à la Safer et, du coup, la transaction échappe à tout contrôle.
«Il apparaît donc évident qu’il faut modifier les choses pour éviter de telle situation», invite Jean-Louis Cazaubon, président de la Chambre d’agriculture de Midi-Pyrénées.

Un Français chargé d’un subtil montage
Les SCA qui ont été constituées pour le rachat de ces exploitations ont toutes été placées en gérance ou en co-gérance au nom d’un certain Marc Fressange, un Français qui s’occupe d’importation/vente de grands crus et de produits agro-alimentaires français mais aussi de la gestion de portefeuilles, spécialisée dans les investissements pour le secteur agro-alimentaire en Europe, France et Chine (lire l’encadré ci-dessus).

La Chine, qui manque de terres agricoles, mène des opérations similaires dans d’autres régions du monde.

2018-09-10T11:46:13+01:00mai 12th, 2016|Agriculture|Commentaires fermés sur Achat de terres par des sociétés chinoises dans l’Indre

Un groupe chinois rachète 1 700 hectares de terres agricoles dans l’Indre

Les tribulations agricoles d’un Chinois en Berry

Un groupe chinois a acquis plusieurs centaines d’hectares de terres à céréales dans le Berry. Une première, qui provoque stupeur et colère dans le monde agricole. Les Safer se plaignent de ne pas avoir les outils juridiques pour endiguer cet accaparement des terres ‘à l’envers’, qui concerne déjà des pans entiers du vignoble français.
«Acheter 1.700 ha de céréales en France sans aucun contrôle, c’est possible!». C’est par un cri indigné que débute le communiqué de la Fédération nationale des sociétés d’aménagement foncier et d’établissement rural (Safer), qui dénonce l’achat de terres agricoles dans le Berry par un groupe chinois. Quelle est son activité dans l’Empire du Milieu? «Je n’en ai aucune idée», concède Emmanuel Hyest, le président de la FN Safer, contacté par Le journal de l’Environnement. Une rapide recherche sur internet sur la société Hongyang laisse penser qu’elle se consacrerait au commerce d’équipements pour stations-service. «Ce sont des sociétés qui ont réussi dans d’autres secteurs et cherchent à diversifier leurs activités», avance Emmanuel Hyest.
FINANCIARISATION DE L’AGRICULTURE
Car un investisseur qui se toque de foncier agricole, ce n’est pas nouveau: le vignoble français en sait quelque chose, qui a vu châteaux et domaines changer de mains par dizaines en quelques années, sans que leurs nouveaux propriétaires y connaissent forcément quelque chose à la vigne et à l’œnologie. «En plus d’être le premier cas pour du foncier ‘pur’, cet exemple est frappant car il s’agit d’un groupe chinois. Mais cette financiarisation de l’agriculture est le fait d’autres nationalités, voire de Français», constate le président de la FN Safer. «Il ne faut plus parler d’agriculture: c’est une vitrine, avec la vache bien peignée derrière, estime Christian Berdot, chargé de ces questions pour l’association Les Amis de la Terre. Aujourd’hui on a affaire à des grands groupes industriels et financiers, qui ont des intérêts sur tous les continents. L’agriculteur est le maillon faible, qui subit toutes les pressions en amont et en aval.»
PRÉEMPTION IMPOSSIBLE
Comment une telle vente a t-elle pu échapper aux radars des Safer? La loi d’avenir pour l’agriculture avait pourtant étendu leur droit de regard aux cessions de parts agricoles. Sauf que le droit de préemption ne peut être mis en œuvre qu’en cas de cession totale des parts. «Il suffit d’en garder une pour qu’on ne puisse intervenir», regrette Emmanuel Hyest. Il faut une réflexion pour éviter que les propriétaires qui transmettent en direct soient soumis à un contrôle et que ceux qui passent par le biais de cessions de parts sociales y échappent.» Et d’évoquer la possibilité de séparer l’exploitation (matériel, cheptel…) du foncier, afin de permettre aux Safer d’agir sur le second. Un rapport sur la financiarisation du foncier est en cours de rédaction et sera remis prochainement au ministre de l’agriculture. «Quand on voit ce que prépare le Tafta

[l’accord commercial transatlantique en cours de négociation entre l’Union européenne et les Etats-Unis, ndlr], les Safer vont avoir du travail pour protéger les petits exploitants agricoles locaux», pronostique Christian Berdot.
AUTONOMIE ALIMENTAIRE
«Si cela devait se répéter de façon importante, c’est notre autonomie alimentaire qui est en jeu, craint cet administrateur de la FNSEA. L’équivalent de la production de 35 M ha sont importés chaque année en Europe[1].» Des chiffres battus en brèche par Les Amis de la Terre Europe. Dans leur rapport intitulé «Terres volées», l’association estimait en 2013 que l’Europe «importe l’équivalent de plus de 5 fois la superficie de la France, principalement de Chine et d’Inde.» Avec d’inévitables reports sur d’autres pays du Sud. Et vers l’Europe, désormais.
JDLE

Article de la NR du 04/02/2016

Article sur TV5 monde du 29/04/2016

Article de la NR du 05/05/2016

Article et vidéo sur FranceTVinfo du 05/05/2016

Article sur TV5 monde du 29/04/2016

 

2017-02-05T18:54:13+01:00mai 8th, 2016|Agriculture|Commentaires fermés sur Un groupe chinois rachète 1 700 hectares de terres agricoles dans l’Indre

Portes ouvertes “Bienvenue à la ferme” avec le printemps à la ferme le 16 et 17 avril

Dimanche 17 avril 2016, dans l’Indre, les agriculteurs adhérents au réseau Bienvenue à la Ferme » vous accueilleront sur leur ferme et vous feront découvrir leur exploitation, leur métier et leurs produits. Et certains d’entre eux ouvriront dès le samedi 16 avril.

Tout au long de la journée, les agriculteurs vous proposeront une visite gratuite de leur exploitation agricole ainsi que des animations pour fêter le printemps.
Ces producteurs vous attendent, venez les rencontrer, visiter leurs exploitations, déguster leurs produits et participer à leurs animations.
Entrée gratuite sur toutes les fermes.

– Ferme des Pensières
Valérie et Thierry MEREAU
Les Pensières 36700 ARPHEUILLES
Courriel : earl.pensieres@wanadoo.fr
Site : www.delices-eloange.com
Tel travail : 02 54 38 56 89
Dans l’Indre, aux portes de la Brenne et à proximité des châteaux de la Loire, les Délices d’EloAnge vous proposent foie gras et spécialités de canards, cuisinés sans conservateur ni colorant, par les producteurs Valérie et Thierry Méreau. Ils vous invitent à découvrir leur magasin à la ferme et accueillent avec plaisir les groupes pour une visite avec dégustation sur RV. Tél.02.54.38.56.89
Ferme de gavage de canards avec transformation
Productions de la ferme : Foie gras et spécialités de canard

Domaine des Maisons Bodiers
Nicolas BEZARD
2, les Maisons Bodiers 36500 BUZANCAIS
Courriel : nicolas.bezard0691@orange.fr
Tel travail : 02 54 38 12 01
Tel portable : 06 62 46 13 67
Ouvert le dimanche de 10 h à 18 h
Vente directe de viande bovine en race limousine à la ferme
Exploitation agricole en polycultures élevage allaitant en race limousine
Productions de la ferme : Céréales et troupeau allaitant en race limousine
Produits de la ferme : Vente au détail de viande bovine (race limousine) : Caissettes sur commande avec enlèvement
Exploitation bovins allaitant, promenade en calèche, en quad dans les lots de vaches.
Concert de trompes de chasse au moment du déjeuner. Toutes les activités se dérouleront de 10 h à 18 h. Repas possible sur place sur réservation.

Suzann et Robert MANNING
Les Fromentaux 36200 CELON
Tel 02 54 25 34 73- E-mail :jrmanning.12@btinternet.com
Ouvert dimanche de 10 h 30 à 20 h
Elevage bovin et ovin démonstration de cuisine.
Repas possible sur place sur réservation.

Marie-Christine TORTIGET – La ferme aux abeilles
Laleuf 36370 CHALAIS
Tel 02 54 37 61 37
Ouvert le samedi et dimanche de 10 h à 19 h
Apiculture. Visite des ateliers : miellerie et transformation du miel en pains d’épices et atelier de la cire. Boutique de la ruche sur place. Dégustation.

– Ferme de BIOUGE
Nienke KOUMANS
Biouge 36700 CLION
supernienke@hotmail.com
Tel travail : 02 54 38 60 64
Tel portable : 06 08 76 05 38
Site : www.glaces-marguerice.com
Vaches laitières – cultures céréalières
Ferme en production laitière et polycultures proche du Parc Naturel Régional de la Brenne
Productions de la ferme : Glaces et sorbets fabriqués à la ferme
Vaches laitières – cultures céréalières

– Ferme de la Basse Roche
Ludovic MOREAU
La Basse Roche – 36240 ECUEILLÉ
Tel : 06 82 94 12 83 – E-mail : ludovic-moreau36@orange.fr
Ouvert le samedi de 14 h 30 à 19 h et le dimanche de 9 h 30 à 18 h 00
Horticulture et maraîchage : Production de plants de fleurs (annuelles, bisannuelles, vivaces,..) et plants de légumes de toutes sortes. Productions légumières sous tunnels et plein champ. Découverte des serres de productions et de la nouvelle structure de + de 5000 m² avec son magasin de légumes à la ferme.”

– GAEC de Vautournon
Vautournon – 36700 FLERE LA RIVIERE
Tél. : 02 54 39 33 59 E-mail :vautournon@orange.fr
Ouvert le dimanche de 9 h à 18 h
Elevage de porcs (naisseur-engraisseur), céréales cultivées pour l’alimentation des animaux, laboratoire de charcuterie et unité de méthanisation agricole avec production d’électricité à partir du lisier et valorisation de la chaleur sur la ferme. Dégustation de produits fermiers.
Possibilité de pique nique sur place.

– EARL les Jardins Du Nahon
Brigitte et Aurélie MOULIN
11, Place st Martin – 36180 HEUGNES
Tél. : 06 85 11 69 83
Courriel : contact@lesjardins-dunahon.fr – Site internet : www.lejardins-dunahon.fr
Ouvert le Samedi et le dimanche de 9 h 30 à 12 h et de 14 h à 18 h
Exploitation horticole. Aux jardins du Nahon, vous trouverez une très large gamme de végétaux et plantes fleuries pour embellir vos extérieurs, jardins et balcons. Vous découvrirez également tout ce qu’il faut pour le potager : légumes aromatiques, fraisiers, fruits rouges, fruitiers,…. L’accueil, la diversité et le conseil accompagneront votre visite.

– Domaine des Champieux
Régis MANDARD
26, Puits de Saray 36600 LYE
Tel travail : 02 54 41 02 44
Au coeur du vignoble le Domaine des Champieux vous accueille pour vous présenter ses productions AOP VALENCAY et TOURAINE
Exploitation viticole de 18 ha
Productions de la ferme : AOC VALENCAY, blanc, rouge, rosé AOC TOURAINE méthode traditionnelle pétillant Vins de pays du Val de Loire

Eliane MANCEAU
Le Pressoir – 36120 JEU LES BOIS
Tel. : 02 54 36 25 34 – E-mail : guyelianeman@orange.fr
Ouvert samedi et dimanche de 14 h à 18 h sur rendez-vous
Ferme typique d’élevage ovin – bovin avec bâtiments de caractère
Productions de la ferme : polyculture élevages bovin et ovin et chèvres mohair, visite de la ferme et présentation des modèles pulls, gants, écharpes,….. réalisés avec la laine des chèvres mohair de l’exploitation.

Ferme de BRAY
Vanessa BOISDET , Wilfried FALCOTET
36220 Martizay
Ferme de BRAY, Bray 36220 MARTIZAY
Courriel : fermedebray@hotmail.fr
Tel travail : 09 82 57 04 69
Tel portable : 06 64 83 72 09
Ouvert le dimanche de 14 h à 19 h 30
Production de fromage de chèvre Pouligny St Pierre AOP, visite de l’atelier caprin
La ferme se situe entre forêt et rivière avec un bâtiment d’élevage en bois qui s’intègre parfaitement dans le paysage. Aux beaux jours les chèvres sortent pâturer autour du bâtiment
Productions de la ferme :Fromages de chèvre fermiers Pouligny St Pierre AOP, fromage blanc, crottins, fromage aromatisé, apéribray
Découverte des chèvres, des chevrettes et des boucs, ainsi que la découverte des fromages (transformation, dégustation). Traite à partir de 17 h 30. Possibilité de pique nique sur place.
Vanessa BOISDET et Wilfried FALCOTET

– Ferme de la Morelière
Catherine CLEMENT – Solange LOUET
La Morelière 2, allée du Chêne Vert – 36180 PELLEVOISIN
Tel. : 02 54 39 03 14
Ouvert le samedi et le dimanche de 10 h à 17 h
Solange et Catherine vous accueillent à la ferme de la morelière avec son élevage de chèvres et sa transformation de fromages en AOP Valençay et AOP Ste Maure de Touraine. Située aux confins de la Touraine et du Berry,venez découvrir la traite et l’alimentation des chèvres.
AOP Valençay,AOP Ste Maure de touraine,AOP Petit Valençay, fromage blanc, pyramide blanche, rond, crottin, touré, rondelle,coeur. Productions végétales: céréales
Productions de la ferme : fromages de chèvres
Pour en savoir plus, visitez le site de la ferme : www.fromage-valencay-louet.com

Sonia ANEMICHE
Ferme auberge des Buttons – Le Rianvert – 36300 ROSNAY
Tel. : 02 54 37 11 76 – 06 52 29 05 84 – E-mail : auberge.des.buttons@gmail.com
Ouvert le samedi et le dimanche de 10 h à 12 h et de 15 h à 19 h
Exploitation bovins allaitants en race limousine et blonde d’aquitaine avec diversification ferme auberge et laboratoire de découpe. Pisciculture extensive. Visite de l’exploitation. Repas sur réservation. Sacs pique-nique sur place avec des produits des fermes « Bienvenue à la ferme ». Possibilité d’accueillir des camping-cars.

Philippe MOREAU
La Génetière – 36500 SAINT LACTENCIN
Tel. : 06 16 92 49 02 – E-mail : lagenetiere@orange.fr
Ouvert le samedi à partir de 14 h et le dimanche de 10 h 00 à 18 h
Visite de l’élevage de volailles fermières et de l’atelier de transformation en charcuterie, animations. Pique nique et restauration sur place samedi soir et dimanche midi sur réservation. Présence d’un producteur de miel et d’artisans (verre soufflé, ….)

Thomas RICHARD
Les Bellonnes – 36200 TENDU
Tel. : 02 54 24 29 26 E-mail :thomas.richard@wanadoo.fr
Ouvert le dimanche de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h
Exploitation de 91 ha polyculture élevage caprins 340 chèvres, 6 bovins lait, chevraux, poulets, poules, lapins distribution des repas, traite des chèvre, possibilité de pique nique sur place, et accueil de camping cars nuit du 16 au 17.

2017-02-05T18:54:13+01:00avril 12th, 2016|Actualités, Agriculture|Commentaires fermés sur Portes ouvertes “Bienvenue à la ferme” avec le printemps à la ferme le 16 et 17 avril

La loi d’avenir pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt

Projet porté par Stéphane Le Foll

L’agriculture française, les filières agroalimentaires et forestières sont des leviers pour relever le défi de la compétitivité économique, sociale et environnementale. La loi d’avenir du 13 octobre 2014 permet la mise en œuvre concrète de l’agro-écologie dans l’objectif d’une performance à la fois économique, environnementale et sociale de nos exploitations agricoles. Depuis que le texte a été promulgué, déjà près de 250 Groupements d’Intérêt Économique et Environnemental ont été créés. Au 10 février 2016, 73 mesures réglementaires d’application de la loi ont été prises ; la loi a ainsi été mise en œuvre à 81%.

LE CONTEXTE
Quelques décennies de modernisation rapide ont profondément transformé l’agriculture de notre pays. C’est désormais une activité fortement mécanisée, très régulée par les pouvoirs publics et les organismes professionnels, inscrite dans des dispositifs de certification et de contrôle et intégrée dans le circuit des échanges économiques, disposant d’une protection sociale spécifique.
Aujourd’hui, l’agriculture française doit répondre à de nouveaux défis. Celui de la compétitivité pour conserver son avance au niveau mondial et pour contribuer au développement productif de la France. Celui de continuer à assurer une production alimentaire de haut niveau qualitatif et en quantité suffisante face à l’augmentation de la population mondiale, et enfin de s’inscrire dans la transition écologique. La jeunesse et l’agro-écologie sont deux des priorités de la loi du 13 octobre 2014.

DE QUOI S’AGIT-IL ?
Le 11 février 2016, Stéphane Le Foll a organisé une journée dédiée à la loi d’Avenir, l’occasion de faire un état des lieux sur sa mise en oeuvre. En effet, 73 mesures réglementaires d’application ont été prises, soit 81% des mesures qui devaient être prises.
“Regardons ce qui est déjà en cours de réalisation : près de 250 Groupements d’Intérêt Economique et Environnemental créés depuis que le texte est promulgué, un foncier agricole mieux protégé, une gouvernance des Safer améliorée. La loi permet aussi une plus grande maîtrise de l’utilisation des intrants. Dans un souci de transparence, le consommateur a accès aux résultats des contrôles sanitaires, effectués dans les restaurants, ou encore les cantines et les restaurants collectifs. L’ancrage territorial de l’alimentation et l’éducation à l’alimentation sont des axes forts concrètement à l’œuvre sur le terrain. La rénovation des référentiels de diplômes de l’enseignement agricole est en marche, les établissements sont engagés pour enseigner à produire autrement (…) Un programme national de la forêt et du bois a été mis en place pour 10 ans, ainsi que de nouvelles possibilités de financement pour cette filière à travers un fonds stratégique. Enfin une programmation stratégique clarifiée et renforcée pour l’agriculture Outre-mer permet de consolider et d’ancrer territorialement les filières de production, en diversifiant la production et en intégrant les principes de l’agro-écologie”, a notamment indiqué le ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt.

GARANTIR LA PERFORMANCE ÉCONOMIQUE ET ENVIRONNEMENTALE DES FILIÈRES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES
Une grande partie du travail a été faite pour mettre en place les outils qui permettront, demain, de faire changer nos modèles agricoles. Ainsi la loi du 13 octobre 2014 prévoit de :
– créer les groupements d’intérêt économique et environnemental (Giee) : ces collectifs d’agriculteurs souhaitant s’engager dans l’agroécologie pourront bénéficier de majorations dans l’attribution des aides publiques afin de mettre en place des projets visant la double performance économique et environnementale. Le décret précisant la procédure de reconnaissance des Giee a été publié le 14 octobre 2014, dès la promulgation de la loi. Depuis mars 2015, ils sont une réalité : début 2016, près de 250 Giee ont déjà été créés.
http://www.gouvernement.fr/action/la-loi-d-avenir-pour-l-agriculture-l-alimentation-et-la-foret
– préciser la notion de transparence pour les groupements agricoles d’exploitation en commun (Gaec) ;
– permettre au médiateur des relations commerciales agricoles de pouvoir être saisi de tout litige portant sur les contrats de vente ou livraison de produits agricoles ou alimentaires.

L’AGRO-ÉCOLOGIE, UN NOUVEAU MODÈLE POUR LA FRANCE
Le projet agro-écologique pour la France “agricultures, produisons autrement”, lancé le 18 décembre 2012, engage l’agriculture sur la voie de la triple performance sociale, économique et écologique pour faire de l’environnement un atout de sa compétitivité.
La moitié des exploitations engagées vers l’agro-écologie d’ici 2025, c’est l’objectif.
Préfigurant les groupements d’intérêt économique et environnemental (GIEE) introduits par la loi d’avenir, plusieurs collectifs d’agriculteurs se sont déjà lancés dans la transition agro-écologique en répondant dès début janvier 2014 à l’appel à projet “mobilisation collective pour l’agro-écologie”. Ils ont ouvert ainsi la voie à tous ceux qui veulent s’engager à faire évoluer les systèmes de production.
2015 a marqué l’An 1 de la généralisation de l’agro-écologie, grâce à la mise en place depuis 2012 des leviers la rendant possible : réforme de la PAC, loi d’Avenir agricole, plans pour le développement de la méthanisation, du bio, de réduction des antibiotiques…
L’adhésion à ce modèle progresse chez les agriculteurs : 45% d’entre eux se considèrent déjà engagés dans cette démarche. Et “les moins de 35 ans sont beaucoup plus impliqués”. “Les lignes bougent,” constatait Stéphane Le Foll, qui poursuit ce travail de conviction.

LES NOUVELLES ORIENTATIONS DU PLAN ECOPHYTO :
Le 30 janvier 2015, tirant le bilan de l’échec du 1er plan Ecophyto de 2008, Stéphane Le Foll a aussi présenté le nouveau plan d’actions Ecophyto. L’objectif demeure de réduire de 50% en 2025 l’utilisation de produits phytosanitaires en agriculture, avec un palier intermédiaire de 25% en 2020. “Si l’on ne fait rien, les phytosanitaires sont comme une bombe à retardement” a rappelé le ministre. Le précédent plan a échoué car il avait fixé “un objectif trop ambitieux sans se “demander si les modèles agricoles en place pourraient le supporter.”
Ce plan de réduction engage une nouvelle méthode, basée sur l’accompagnant des agriculteurs vers de nouveaux modèles de production:
1/ Il s’appuiera sur la diffusion de techniques plus économes en intrants : rotation des cultures, alternatives naturelles aux pesticides (biocontrôle), machinisme innovant, … On passe d’une agriculture intensive en intrants, en chimie, en azote, en énergie fossile à une agriculture intensive en connaissance et en innovation.
2/ Il déploiera l’expérience des 2 000 fermes pionnières qui, elles, ont vu l’utilisation des pesticides baisser en moyenne de 12% en 2013 : le nombre de ces fermes passera à 3 000. Chacune entraînant 10 exploitations autour d’elle.
3/ Il expérimentera la mise en place de “certificats d’économie de produits phytosanitaires” (CEPP) avec une obligation pour les distributeurs de ces produits de baisser de 20% le nombre de doses utilisées sur 5 ans, et des pénalités financières sur leurs marges si l’objectif n’est pas atteint. Ainsi, “au lieu de vendre un produit, les distributeurs seront incités à vendre plus de services, c’est-à-dire apprendre aux agriculteurs à utiliser la juste quantité ou des techniques alternatives.”
Ce nouveau plan Ecophyto est au coeur du modèle agro-écologique engagé depuis 2012.

“FAIRE DE LA FRANCE LE LEADER EUROPÉEN DE L’AGROÉCOLOGIE”
L’agroécologie c’est une troisième voie, entre l’agriculture biologique et la culture ou l’élevage intensifs, pratiqués avec force machine, engrais et pesticides. L’agroécologie est davantage écoresponsable : elle s’appuie sur les évolutions de l’agroéconomie afin d’optimiser les cultures et les élevages tout en limitant l’impact sur la nature à long terme. L’objectif de Stéphane Le Foll : “Faire de la France le leader européen de l’agroécologie.”
Les 18 et 19 septembre 2014, le premier symposium international sur l’agro-écologie pour la sécurité alimentaire et la nutrition organisé par la FAO à l’initiative de la France a été l’occasion pour Stéphane Le Foll de rappeler l’engagement de la France pour permettre l’émergence de nouvelles pratiques agricoles combinant performance économique et écologique.
Ce symposium qui a rassemblé plus de 350 participants (chercheurs, agriculteurs, ONG, décideurs publics…) venant de plus de 30 pays marque une prise de conscience à l’échelle de la planète autour des enjeux de l’agro-écologie.
Le ministre a rappelé la logique du projet agro-écologique français, qu’il a lancé le 18 décembre 2012, tout en soulignant le caractère primordial du partage d’expérience comme facteur clef de succès. Il a également souligné que l’agro-écologie procédait d’une volonté politique et a proposé de mettre en place un groupe des pays amis de l’agro-écologie afin de stimuler de façon continue le développement de ces pratiques à l’échelle du monde.

Lien avec l’article sur gouvernement.fr

2018-09-10T11:39:51+01:00mars 7th, 2016|Agriculture, Environnement|Commentaires fermés sur La loi d’avenir pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt

Le bio gagne du terrain en région centre

Elles sont 156 exploitations agricoles certifiées bio en Loir-et-Cher. La dynamique de conversion et d’installation s’accélère et touche désormais tous les secteurs. Céréaliers, maraichers, viticulteurs, éleveurs… sont attirés par cette méthode de production sans pesticides qui permet de vendre ses produits plus chers et de toucher des aides supplémentaires.

En dépit de ses vertus en matière de respect de l’environnement et de préservation de la biodiversité, l’agriculture biologique est souvent reléguée au rang d’alternative marginale, définitivement incapable de nourrir les plus de neuf milliards d’humains que comptera la planète en 2050.
Et pourtant, le phénomène bio s’accélère. En sept ans, les surfaces cultivées ont plus que doublé. Elles ont dépassé le million d’hectares fin 2015 soit 4,6 % de la surface agricole française. La crise sans précédent que traverse l’élevage a boosté l’agriculture bio. Au cours des six premiers mois de l’année 2015, le nombre de fermes bio a augmenté de 8 % par rapport à la même période, l’an dernier. Un chiffre multiplié par deux en sept ans.
« Cet engouement des paysans pour l’agriculture bio n’est pas dû au hasard » explique Alexandre de la Crompe, président du groupement des agriculteurs bio du Loir-et-Cher (Gablec). L’environnement économique, et notamment la crise de l’élevage, a accéléré les décisions des agriculteurs pour passer du système conventionnel au système bio. Celui-ci leur permet de toucher des aides complémentaires de la PAC. »

S’il faut trois ans pour qu’une exploitation soit certifiée bio, le temps que les sols éliminent les traces de pesticides, les aides à l’installation et à la conversion sont concédées pour cinq ans. Les subventions de maintien prennent, dès lors, le relais.
Comme Alexandre, maraicher à Saint-Lubin en Vegonnois, au nord de Blois, les agriculteurs, près de 30 000 aujourd’hui à avoir fait le grand saut, ne le regrettent pas. « Nous valorisons mieux notre production auprès des consommateurs que le système conventionnel. Je vends mes légumes en circuit court et j’arrive à vivre correctement de mon métier et à développer mon exploitation. Avec moins de pesticides en plus » se réjouit Alexandre.
En effet, à l’autre bout de la chaîne, le marché est porteur et la demande en forte progression. Les consommateurs sont prêts à payer plus pour la qualité. Globalement, les ventes d’aliments bio (5,5 milliards d’euros en 2015) ont progressé de 10 % en 2015. « Les ventes bio sont en hausse dans tous les circuits de distribution et tous les produits, fruits et légumes, viande, lait et pains », se félicite Alexandre de la Crompe.

« De plus, ce dynamisme permet aux consommateurs de disposer d’une offre bio très majoritairement française. 76 % des produits bio consommés en France sont made in France, soit 20 % de plus qu’il y a 7 ans. » L’Hexagone a même dépassé l’Allemagne dans ce domaine et se classe troisième pays bio de l’Union européenne, réunissant 10 % des surfaces bio cultivées.
« Ce qu’il faut comprendre, c’est que ce n’est pas seulement l’agriculture que nous sommes en train de repenser. C’est tout notre système de production, mais aussi de distribution, de transport et de consommation des aliments. Oui, c’est une révolution, elle est nécessaire et marche », conclut Alexandre.

D’autant plus qu’une étude américaine, publiée, mardi 9 décembre, dans les Proceedings of the Royal Society (l’équivalent britannique de notre Académie des Sciences), redore quelque peu le blason de ce mode de culture qui proscrit les intrants chimiques, engrais, pesticides et autres produits phytosanitaires. Elle conclut que le déficit de productivité des méthodes biologiques par rapport à l’agriculture intensive, ou industrielle, est moins important que ne l’affirmaient de précédents travaux. Et, surtout, qu’il est possible de réduire cet écart et ainsi mieux nourrir la planète.

Une région bio

La région Centre-Val de Loire a fait du soutien à l’agriculture biologique l’une de ses priorités en matière de politique agricole. Depuis 2014, elle est responsable du financement par le Fonds européen Agricole pour le Développement rural des aides aux agriculteurs à l’hectare pour la conversion ou le maintien à l’agriculture biologique.
Dans ce cadre, la Région soutient notamment la conversion à l’agriculture biologique. En 2013, elle a ainsi mis en place le dispositif « CAP Conversion », permettant de sécuriser la période de conversion et d’accompagner l’agriculteur de l’élaboration de son projet à la mise en œuvre durant les 3 premières années. Depuis 2007, la Région soutient près de 300 agriculteurs chaque année pour l’obtention de la certification biologique.
La Commission permanente régionale, réunie le 5 février 2016, a décidé de soutenir 34 certifications biologiques

[9 dans le Cher ; 2 en Eure-et-Loir ; 2 dans l’Indre ; 9 en Indre-et-Loire ; 2 en Loir-et-Cher et 10 dans le Loiret], pour un montant global de 11360 €.

2017-02-05T18:54:14+01:00février 15th, 2016|Agriculture|Commentaires fermés sur Le bio gagne du terrain en région centre

Printemps Bienvenue à la ferme

Pour la 9ème édition, les agriculteurs du réseau “Bienvenue à la ferme” vous invitent à fêter le printemps à l’occasion de l’opération “Printemps Bienvenue à la ferme”.
Le lancement est le dimanche 19 avril 2015
Une occasion de découvrir les activités et les produits de la ferme grâce à des animations variées et originales.

Notre sélection dans le Boischaut nord et la Brenne :

– Ferme des Pensières
Valérie et Thierry MEREAU
Les Pensières 36700 ARPHEUILLES
Courriel : earl.pensieres@wanadoo.fr
Site : www.delices-eloange.com
Tel travail : 02 54 38 56 89
Dans l’Indre, aux portes de la Brenne et à proximité des châteaux de la Loire, les Délices d’EloAnge vous proposent foie gras et spécialités de canards, cuisinés sans conservateur ni colorant, par les producteurs Valérie et Thierry Méreau. Ils vous invitent à découvrir leur magasin à la ferme et accueillent avec plaisir les groupes pour une visite avec dégustation sur RV. Tél.02.54.38.56.89
Ferme de gavage de canards avec transformation
Productions de la ferme : Foie gras et spécialités de canard

– Ferme du Caroire
Agnès et Christophe Vandooren
10, Champ d’Oeuf Le Caroire 36290 AZAY LE FERRON
fcaroire@gmail.com
caroire@mcom.fr
Tel travail : 02 54 37 01 52
Tel portable : 06 80 40 75 13
Au pays des mille étangs, dans le Parc régional de la Brenne, au cœur d’une nature d’exception, depuis trois générations la Ferme du Caroire compose au rythme des saisons. C’est dans cette campagne protégée, qu’Agnès et Christophe Vandooren, agriculteurs et éleveurs de chèvres, perpétuent la tradition culinaire régionale et l’enrichissent de leurs créations audacieuses. Les produits que vous vous apprêtez à acheter sont mis en œuvre avec l’exigence des éleveurs fiers de leur terre et amoureux de leurs animaux. Vous serez conquis par les délicieux fromages, mais aussi ces savoureuses terrines aux multiples parfums et ces conserves exquises uniquement issus de leur exploitation. La fromagerie de la Ferme du Caroire, fondée en 1962, produit une gamme de fromages de chèvre qui a étendu sa renommée bien au-delà du pays d’Azay.
ferme d’élevage située en Brenne
Productions de la ferme : production de lait de chèvre, fromages crottins, pyramides, bûches, pavé de Brenne, ail et fines herbes, mini fromages galettes et feuilletines au fromage de chèvre, pizza, sépcialité “casse museraux”, viande de chèvre et de chevraux, saucisses merguez, gigot fumé, côtelettes, pâtés nature ou parfumé, pâté berrichon, plats cuisinés (cassoulet, ragoût, charbonnée) viande bovine (vache et veau) en caissette de 5 Kgs sur commande) confitures de fruits et légumes, jus de pomme huile de colza, de tournesol

Domaine des Maisons Bodiers
Nicolas BEZARD
Les Maisons Bodiers 36500 BUZANCAIS
Courriel : nicolas.bezard0691@orange.fr
Tel travail : 02 54 38 12 01
Tel portable : 06 62 46 13 67
Vente directe de viande bovine en race limousine à la ferme
Exploitation agricole en polycultures élevage allaitant en race limousine
Productions de la ferme : Céréales et troupeau allaitant en race limousine
Produits de la ferme : Viande bovine (race limousine) : Caissettes sur commande avec enlèvement

– Manuel ROGER
Manuel ROGER
9, La Taille Harrault 36210 CHABRIS
Courriel : apimanuel@yahoo.fr
Tel portable : 06 60 85 28 76
Venez découvrir le monde passionnant des abeilles et goûter à leurs productions variées aux bienfaits reconnus pour la santé.
Exploitation apicole en recherche constante de biodiversité afin de valoriser au mieux les ressources végétales locales.
Productions de la ferme : Apiculture

– Ferme de BIOUGE
Nienke KOUMANS
Biouge 36700 CLION
supernienke@hotmail.com
Tel travail : 02 54 38 60 64
Tel portable : 06 08 76 05 38
Site : www.glaces-marguerice.com
Vaches laitières – cultures céréalières
Ferme en production laitière et polycultures proche du Parc Naturel Régional de la Brenne
Productions de la ferme : Glaces et sorbets fabriqués à la ferme
Vaches laitières – cultures céréalières

– Ferme de la Basse Roche
Ludovic MOREAU
La Basse Roche – 36240 ECUEILLÉ
Tel : 06 82 94 12 83 – E-mail : ludovic-moreau36@orange.fr
Ouvert le samedi de 14 h 30 à 19 h et le dimanche de 8 h 30 à 12 h
Horticulture et maraîchage : visite des tunnels de production horticole et légumière, plants de fleurs (annuelles, bisannuelles, vivaces,..) plants de légumes de toutes sortes, production légumière sous tunnel et plein champ (conception de paniers de légumes de saison toutes les semaines).

Ferme de la Boutinière
Luc GORRY
La Boutinière 36240 ECUEILLE
Courriel : gorry.luc@orange.fr
Tel travail : 06 08 03 45 49
Venez découvrir nos légumes cultivés et récoltés sur notre exploitation
Productions de la ferme : Exploitation céréalière avec production de légumes
produits de la ferme : Tomates russes, haricots verts, salades, aubergines, cardes, pommes de terre

– GAEC de Vautournon
Vautournon – 36700 FLERE LA RIVIERE
Tél. : 02 54 39 33 59 E-mail :vautournon@orange.fr
Ouvert uniquement le dimanche matin. Départ des visites de 9 h à 11 h
Elevage de porcs (naisseur-engraisseur), céréales cultivées pour l’alimentation des animaux, laboratoire de charcuterie et unité de méthanisation agricole avec production d’électricité à partir du lisier et valorisation de la chaleur sur la ferme. Dégustation de produits fermiers.

– Ferme du Champ de l’Etang
Le Champ de l’Etang 36180 FREDILLE
Sylvain RABATE, Céline RABATE
Courriel : sylvain.rabate@sfr.fr
Tel travail : 02 54 35 85 49
Sylvain RABATE
aprin située en Boischaut Nord avec transformation du lait en formages AOP VALENCAY
Ferme production de céréales et élevage
Productions de la ferme : Fromages de chèvre fermiers AOP VALENCAY

– EARL les Jardins Du Nahon
Brigitte et Aurélie MOULIN
11, Place st Martin – 36180 HEUGNES
Tél. : 06 85 11 69 83
Courriel : brigitte.moulin05@orange.fr
Ouvert le samedi de 14 h 30 à 18 h 30 et le dimanche de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h
Exploitation horticole. Aux jardins du Nahon, vous trouverez une très large gamme de végétaux et plantes fleuries pour embellir vos extérieurs, jardins et balcons. L’accueil, la diversité et le conseil accompagneront votre visite.

– Fromagerie du Gardon Frit
Carole SINIC
1, le Gardon Frit 36180 HEUGNES
Tel travail : 02 54 39 02 93
Tel portable : 06 87 95 30 30
Ferme caprine en Boischaut Nord
Ferme élevage de chèvres avec production de fromages située dans une zone traditionnelle d’élevage caprin
Productions de la ferme : fromages de chèvre au lait cru, pyramide, bûchette, rond, crottin, palet, fromage épicé, fromages apéritif

– Domaine des Champieux
Régis MANDARD
26, Puits de Saray 36600 LYE
Tel travail : 02 54 41 02 44
Au coeur du vignoble le Domaine des Champieux vous accueille pour vous présenter ses productions AOP VALENCAY et TOURAINE
Exploitation viticole de 18 ha
Productions de la ferme : AOC VALENCAY, blanc, rouge, rosé AOC TOURAINE méthode traditionnelle pétillant Vins de pays du Val de Loire

– Domaine JOURDAIN
Francis JOURDAIN
24, les Moreaux 36600 LYE
Courriel : contact@domainejourdain.com
Site : www.domainejourdain.com
Tel travail : 02 54 41 01 45
Située aux confins du Berry, de la Sologne et de la Touraine, notre exploitation familiale vous accueillera pour vous faire partager notre métier, les secrets de notre terroir et de nos vins de qualité Valençay et Touraine
Entre tradition et modernité… A côté de la longère berrichonne, bâtiment traditionnel des fermes de polyculture élevage se trouve le chai où chaque équipement contribue à faire exceller l’expression du terroir
Productions de la ferme : AOC VALENCAY (blanc, rosé, route), AOC TOURAINE (blanc, rouge), méthode traditionnelle, jus de raison
Pour en savoir plus, visitez le site de la ferme : www.domainejourdain.com

– DOMAINE MALET
Bruno et Alain MALET
3, rue Pointeau 36600 LYE
Tel travail : 02 54 41 05 36
Tel portable : 06 19 02 65 82
Venez visiter le vignoble enherbé, les méthodes de culture orientées vers le respect de l’environnement et déguster au chai, sur place les différents cépages du vins AOC Valençay.
Exploitation viticole et céréalière typique de la région de Valençay
Productions de la ferme : Vins AOC Valençay et cultures céréalières.

Ferme de BRAY
Vanessa BOISDET , Wilfried FALCOTET
36220 Martizay
Ferme de BRAY, Bray 36220 MARTIZAY
Courriel : fermedebray@hotmail.fr
Tel travail : 09 82 57 04 69
Tel portable : 06 64 83 72 09
Production de fromage de chèvre Pouligny St Pierre AOP, visite de l’atelier caprin
La ferme se situe entre forêt et rivière avec un bâtiment d’élevage en bois qui s’intègre parfaitement dans le paysage. Aux beaux jours les chèvres sortent pâturer autour du bâtiment
Productions de la ferme :Fromages de chèvre fermiers Pouligny St Pierre AOP, fromage blanc, crottins, fromage aromatisé, apéribray

– Ferme de la Morelière
Catherine CLEMENT – Solange LOUET
La Morelière 2, allée du Chêne Vert – 36180 PELLEVOISIN
Tel. : 02 54 39 03 14
Ouvert le samedi et le dimanche de 10 h à 17 h
Solange et Catherine vous accueillent à la ferme de la morelière avec son élevage de chèvres et sa transformation de fromages en AOP Valençay et AOP Ste Maure de Touraine. Située aux confins de la Touraine et du Berry,venez découvrir la traite et l’alimentation des chèvres.
AOP Valençay,AOP Ste Maure de touraine,AOP Petit Valençay, fromage blanc, pyramide blanche, rond, crottin, touré, rondelle,coeur. Productions végétales: céréales
Productions de la ferme : fromages de chèvres
Pour en savoir plus, visitez le site de la ferme : www.fromage-valencay-louet.com

– Ferme du Relais
DOUBLIER Denis NICOLAS Anne-Marie
Ferme du Relais
Le Relais 36180 PELLEVOISIN
Courriel : ddoublier@hotmail.fr
Tel travail : 02 54 39 01 77
Tel portable : 06 33 84 89 68
Au carrefour de la Brenne et des Châteaux de la Loire, notre exploitation vous accueillera dans une ambiance familiale. Vous pourrez visiter l’élevage de chèvres et profiter du calme d’un coin de campagne
Maison de maître ombragée au sein d’un corps de ferme dans lequel se tient un élevage de chèvres
Productions de la ferme : Ferme de polyculture élevage

– Ferme de Mosnay
Bruno LOJON
Ferme de Mosnay
Mosnay 36600 VICQ SUR NAHON
Tel travail : 02 54 40 36 20
A la ferme de Mosnay, le troupeau de chèvres et la fabrication du fromage sont le coeur des activités de la famille LOJON.
Au coeur du Boischaut Nord, ferme traditionnelle d’élevage de chèvres et volailles avec fabrication de fromage à la ferme.
Productions de la ferme : Polyculture, élevage caprin, volailles fermières. Fromages de chèvre (AOC Valençay, AOC Selles sur Cher), confiture de lait (de chèvre), volailles fermières (sur commande).

2017-02-05T18:54:15+01:00avril 3rd, 2015|Agriculture|Commentaires fermés sur Printemps Bienvenue à la ferme

Extension des zones vulnérables aux nitrates d’origine agricole dans l’Indre

Le ministère de l’Ecologie met en consultation publique jusqu’au 4 janvier 2015 les projets de décret et d’arrêté relatifs à la délimitation des zones vulnérables aux nitrates d’origine agricole.

Ce projet de révision suscite une forte opposition des syndicats agricoles. 3800 communes dont 86 communes de l’Indre sont concernées par cette révision, afin de satisfaire aux exigences de la directive nitrates et d’éviter ainsi de lourdes sanctions financières.
A défaut, la France encoure une nouvelle saisine de la CJUE (procédure contentieuse au titre de l’article 260 du TFUE) avec, à la clef, une condamnation presque certaine, assortie d’une amende élevée (21,5 M €) et d’astreintes mensuelles (3,5 M€).
Ce projet de révision vise à clore le contentieux.
Cette révision est aussi nécessaire pour atteindre les objectifs de bon état des eaux au titre de la directive-cadre sur l’eau car de nombreuses masses d’eau souterraines, superficielles et littorales restent déclassées au motif d’une présence excessive de nitrates.
D’autres informations sur le site de la DREAL centre :

A lire en complément sur une question du sénateur M. Jean-Jacques Lozach, concernant le classement de communes en zone vulnérable aux nitrates dans la Creuse

2015-01-19T14:46:30+01:00décembre 30th, 2014|Agriculture|Commentaires fermés sur Extension des zones vulnérables aux nitrates d’origine agricole dans l’Indre

Bienvenue à la ferme en Boischaut nord, le 19 et 20 avril 2014

Bienvenuealaferme
Pour fêter le printemps, venez rencontrer les agriculteurs du réseau « Bienvenue à la Ferme » durant leur journée « Portes Ouvertes » le dimanche 20 avril.

Pour la 8ème édition : 113 fermes vous accueillent en région Centre dont 43 ouvrent dès le samedi.

le lien avec les participants dans l’Indre :
Bienvenue à la ferme dans l’Indre

Notre sélection dans le Boischaut nord et la Brenne :

– Ferme des Pensières
Valérie et Thierry MEREAU
Les Pensières 36700 ARPHEUILLES
Courriel : earl.pensieres@wanadoo.fr
Site : www.delices-eloange.com
Tel travail : 02 54 38 56 89
Dans l’Indre, aux portes de la Brenne et à proximité des châteaux de la Loire, les Délices d’EloAnge vous proposent foie gras et spécialités de canards, cuisinés sans conservateur ni colorant, par les producteurs Valérie et Thierry Méreau. Ils vous invitent à découvrir leur magasin à la ferme et accueillent avec plaisir les groupes pour une visite avec dégustation sur RV. Tél.02.54.38.56.89
Ferme de gavage de canards avec transformation
Productions de la ferme : Foie gras et spécialités de canard

– Ferme du Caroire
Agnès et Christophe Vandooren
10, Champ d’Oeuf Le Caroire 36290 AZAY LE FERRON
fcaroire@gmail.com
caroire@mcom.fr
Tel travail : 02 54 37 01 52
Tel portable : 06 80 40 75 13
Au pays des mille étangs, dans le Parc régional de la Brenne, au cœur d’une nature d’exception, depuis trois générations la Ferme du Caroire compose au rythme des saisons. C’est dans cette campagne protégée, qu’Agnès et Christophe Vandooren, agriculteurs et éleveurs de chèvres, perpétuent la tradition culinaire régionale et l’enrichissent de leurs créations audacieuses. Les produits que vous vous apprêtez à acheter sont mis en œuvre avec l’exigence des éleveurs fiers de leur terre et amoureux de leurs animaux. Vous serez conquis par les délicieux fromages, mais aussi ces savoureuses terrines aux multiples parfums et ces conserves exquises uniquement issus de leur exploitation. La fromagerie de la Ferme du Caroire, fondée en 1962, produit une gamme de fromages de chèvre qui a étendu sa renommée bien au-delà du pays d’Azay.
ferme d’élevage située en Brenne
Productions de la ferme : production de lait de chèvre, fromages crottins, pyramides, bûches, pavé de Brenne, ail et fines herbes, mini fromages galettes et feuilletines au fromage de chèvre, pizza, sépcialité “casse museraux”, viande de chèvre et de chevraux, saucisses merguez, gigot fumé, côtelettes, pâtés nature ou parfumé, pâté berrichon, plats cuisinés (cassoulet, ragoût, charbonnée) viande bovine (vache et veau) en caissette de 5 Kgs sur commande) confitures de fruits et légumes, jus de pomme huile de colza, de tournesol

– Manuel ROGER
Manuel ROGER
9, La Taille Harrault 36210 CHABRIS
Courriel : apimanuel@yahoo.fr
Tel portable : 06 60 85 28 76
Venez découvrir le monde passionnant des abeilles et goûter à leurs productions variées aux bienfaits reconnus pour la santé.
Exploitation apicole en recherche constante de biodiversité afin de valoriser au mieux les ressources végétales locales.
Productions de la ferme : Apiculture

– Ferme de BIOUGE
Nienke KOUMANS
Biouge 36700 CLION
supernienke@hotmail.com
Site : www.glaces-marguerice.com
Glaces et sorbets fabriqués à la ferme
Ferme en production laitière et polycultures proche du Parc Naturel Régional de la Brenne
Productions de la ferme : Vaches laitières – cultures céréalières

– Ferme de la Basse Roche
Ludovic MOREAU
La Basse Roche – 36240 ECUEILLÉ
Tel : 06 82 94 12 83 – E-mail : ludovic-moreau36@orange.fr
Ouvert le samedi de 14 h 30 à 19 h et le dimanche de 8 h 30 à 12 h
Horticulture et maraîchage : visite des tunnels de production horticole et légumière, plants de fleurs (annuelles, bisannuelles, vivaces,..) plants de légumes de toutes sortes, production légumière sous tunnel et plein champ (conception de paniers de légumes de saison toutes les semaines).

– GAEC de Vautournon
Vautournon – 36700 FLERE LA RIVIERE
Tél. : 02 54 39 33 59 E-mail :vautournon@orange.fr
Ouvert uniquement le dimanche matin. Départ des visites de 9 h à 11 h
Elevage de porcs (naisseur-engraisseur), céréales cultivées pour l’alimentation des animaux, laboratoire de charcuterie et unité de méthanisation agricole avec production d’électricité à partir du lisier et valorisation de la chaleur sur la ferme. Dégustation de produits fermiers.

– EARL les Jardins Du Nahon
Brigitte et Aurélie MOULIN
11, Place st Martin – 36180 HEUGNES
Tél. : 06 85 11 69 83
Courriel : brigitte.moulin05@orange.fr
Ouvert le samedi de 14 h 30 à 18 h 30 et le dimanche de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h
Exploitation horticole. Aux jardins du Nahon, vous trouverez une très large gamme de végétaux et plantes fleuries pour embellir vos extérieurs, jardins et balcons. L’accueil, la diversité et le conseil accompagneront votre visite.

– Fromagerie du Gardon Frit
Carole SINIC
1, le Gardon Frit 36180 HEUGNES
Tel travail : 02 54 39 02 93
Tel portable : 06 87 95 30 30
Ferme caprine en Boischaut Nord
Ferme élevage de chèvres avec production de fromages située dans une zone traditionnelle d’élevage caprin
Productions de la ferme : fromages de chèvre au lait cru, pyramide, bûchette, rond, crottin, palet, fromage épicé, fromages apéritif

– Domaine des Champieux
Régis MANDARD
26, Puits de Saray 36600 LYE
Tel travail : 02 54 41 02 44
Au coeur du vignoble le Domaine des Champieux vous accueille pour vous présenter ses productions AOP VALENCAY et TOURAINE
Exploitation viticole de 18 ha
Productions de la ferme : AOC VALENCAY, blanc, rouge, rosé AOC TOURAINE méthode traditionnelle pétillant Vins de pays du Val de Loire

– Domaine JOURDAIN
Francis JOURDAIN
24, les Moreaux 36600 LYE
Courriel : contact@domainejourdain.com
Site : www.domainejourdain.com
Tel travail : 02 54 41 01 45
Située aux confins du Berry, de la Sologne et de la Touraine, notre exploitation familiale vous accueillera pour vous faire partager notre métier, les secrets de notre terroir et de nos vins de qualité Valençay et Touraine
Entre tradition et modernité… A côté de la longère berrichonne, bâtiment traditionnel des fermes de polyculture élevage se trouve le chai où chaque équipement contribue à faire exceller l’expression du terroir
Productions de la ferme : AOC VALENCAY (blanc, rosé, route), AOC TOURAINE (blanc, rouge), méthode traditionnelle, jus de raison
Pour en savoir plus, visitez le site de la ferme : www.domainejourdain.com

– DOMAINE MALET
Bruno et Alain MALET
3, rue Pointeau 36600 LYE
Tel travail : 02 54 41 05 36
Tel portable : 06 19 02 65 82
Venez visiter le vignoble enherbé, les méthodes de culture orientées vers le respect de l’environnement et déguster au chai, sur place les différents cépages du vins AOC Valençay.
Exploitation viticole et céréalière typique de la région de Valençay
Productions de la ferme : Vins AOC Valençay et cultures céréalières.

– Ferme de la Morelière
Catherine CLEMENT – Solange LOUET
La Morelière 2, allée du Chêne Vert – 36180 PELLEVOISIN
Tel. : 02 54 39 03 14
Ouvert le samedi et le dimanche de 10 h à 17 h
Solange et Catherine vous accueillent à la ferme de la morelière avec son élevage de chèvres et sa transformation de fromages en AOP Valençay et AOP Ste Maure de Touraine. Située aux confins de la Touraine et du Berry,venez découvrir la traite et l’alimentation des chèvres.
AOP Valençay,AOP Ste Maure de touraine,AOP Petit Valençay, fromage blanc, pyramide blanche, rond, crottin, touré, rondelle,coeur. Productions végétales: céréales
Productions de la ferme : fromages de chèvres
Pour en savoir plus, visitez le site de la ferme : www.fromage-valencay-louet.com

– Ferme du Relais
DOUBLIER Denis NICOLAS Anne-Marie
Ferme du Relais
Le Relais 36180 PELLEVOISIN
Courriel : ddoublier@hotmail.fr
Tel travail : 02 54 39 01 77
Tel portable : 06 33 84 89 68
Au carrefour de la Brenne et des Châteaux de la Loire, notre exploitation vous accueillera dans une ambiance familiale. Vous pourrez visiter l’élevage de chèvres et profiter du calme d’un coin de campagne
Maison de maître ombragée au sein d’un corps de ferme dans lequel se tient un élevage de chèvres
Productions de la ferme : Ferme de polyculture élevage

– Ferme de Mosnay
Bruno LOJON
Ferme de Mosnay
Mosnay 36600 VICQ SUR NAHON
Tel travail : 02 54 40 36 20
A la ferme de Mosnay, le troupeau de chèvres et la fabrication du fromage sont le coeur des activités de la famille LOJON.
Au coeur du Boischaut Nord, ferme traditionnelle d’élevage de chèvres et volailles avec fabrication de fromage à la ferme.
Productions de la ferme : Polyculture, élevage caprin, volailles fermières. Fromages de chèvre (AOC Valençay, AOC Selles sur Cher), confiture de lait (de chèvre), volailles fermières (sur commande).

2017-02-05T18:54:19+01:00avril 14th, 2014|Agriculture|Commentaires fermés sur Bienvenue à la ferme en Boischaut nord, le 19 et 20 avril 2014

Pourquoi lutter contre l’utilisation des graines OGM

Nous l’oublions souvent mais nous sommes tous titulaires de certains droits dans le domaine de l’alimentation : c’est ce que l’on appelle la ‘souveraineté alimentaire’, impliquant un système basé sur la diversité bio-culturelle au niveau local. Ce système requiert néanmoins des connaissances techniques et technologiques radicalement différentes de celles imposées ces dernières années par divers groupes scientifiques et industriels.

Semer constitue le premier maillon de la chaîne alimentaire. Toutes les cultures agricoles qui nous nourrissent proviennent des graines sélectionnées par les agriculteurs, connaissance transmise de génération en génération de par le monde. Se crée alors une biodiversité dynamique, rendant les plantes capables de s’adapter aux divers types de terre, divers climats, diverses pratiques agricoles et diverses nécessités humaines.

L’industrialisation de l’agriculture est en revanche un phénomène assez récent, remettant en cause des équilibres ruraux pourtant ancrés dans les siècles : les graines agricoles sont en effet menacées d’être cannibalisées par des graines ‘améliorées’ en laboratoire, les OGM, conçues pour être plus résistantes aux insectes, aux pesticides et aux fertilisants. Selon la FAO, cette industrialisation massive a déjà érodé 75% de la biodiversité et induit des dommages environnementaux et sanitaires insupportables.

Le hiatus est évident : on assiste d’une part à la domination des multinationales sur le marché, laissant aux agriculteurs le choix, au mieux, de les suivre ou de n’occuper qu’une niche marginale ; de l’autre, se développe le modèle ‘d’agriculture sociale’, plaçant au centre de ses préoccupations les droits de celui qui travaille et de celui qui consomme.

La bataille contre les OGM est donc en réalité une bataille pour la souveraineté des populations : ces dernières doivent pouvoir choisir leur modèle de production, de distribution et de consommation ; elles doivent également être à même de refuser que ne se propage un modèle basé sur l’homologation et l’exploitation, modèle aujourd’hui présenté comme inévitable et indispensable.

Pour les mouvements paysans s’opposant à la globalisation, les OGM représentent une lutte contre un modèle standard qui leur ôte le droit et le devoir de pouvoir choisir ce qu’ils veulent produire, de la manière dont ils le souhaitent.

Face aux défis alimentaires et environnementaux toujours plus urgents, face à l’amplification des changements climatiques et à la diminution des apports énergétiques et chimiques, il est urgent de rendre aux agriculteurs leurs droits fondamentaux, i.e. celui de choisir, de changer, de sélectionner et de multiplier les graines localement.

Jusque là, l’aspect « invisible » des OGM constituait une excellente défense. La mobilisation toujours plus organisée des anti OGM un peu partout dans le monde a cependant mis l’accent sur le danger représenté par ces nouveaux aliments. L’opinion publique en a pris conscience ; dorénavant, elle critique et participe.  Les OGM ont d’ailleurs le ‘mérite’ d’avoir porté à l’attention du public occidental le débat sur la nourriture, sur la façon de la cultiver, de la transformer, de la commercialiser. Cela a également relancé le débat du rôle de la science et de la recherche au XXIème siècle, au sein même du monde scientifique.

Comme l’affirme la Déclaration de la Conférence L’Europe pour la Souveraineté Alimentaire’ qui s’est tenue en Autriche en août 2011, et à laquelle plus de 400 personnes de 34 pays ont participé : « Changer la direction de ce système alimentaire sera possible en réorientant complètement les politiques et les pratiques alimentaires et agricoles. Il est indispensable de redessiner le système alimentaire sur la base des principes de la souveraineté alimentaire, en particulier en Europe, et il est indispensable de le faire maintenant. »

 

A lire, la position de la coordination rurale :

OGM, quel intérêt pour les agriculteurs ?

2017-02-05T18:54:20+01:00mars 20th, 2014|Agriculture|Commentaires fermés sur Pourquoi lutter contre l’utilisation des graines OGM
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