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Intercommunalité entre CdC de Valençay et Ecueillé

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Rappel de la procédure :
En vertu des articles 60 et 61 de la loi de réforme des collectivités territoriales, il appartient au Préfet de mettre en oeuvre le Schéma Départemental de Coopération Intercommunale (SDCI) arrêté avant le 31 décembre 2012.
Le Préfet dispose par ailleurs du pouvoir de mettre en oeuvre les mesures inscrites au SDCI et qui n’auront pu l’être au 31 décembre 2012, pendant 2013 (date de prise d’effet au 1er janvier 2014).
C’est donc l’effervescence dans les conseils municipaux des CdC de Valençay et d’Ecueillé pour valider la loi n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 sur la réforme des collectivités territoriales. Unanimement tous les conseils municipaux des deux CdC ont demandé au préfet de repousser le « mariage » au 1er janvier 2014. En cause, le flou qui règne sur les conséquences financières, la définition des compétences et la représentation des délégués communaux selon le nombre d »habitants.

– Pour définir les conséquences financières :
Faire une étude financière rétrospective pour connaître la situation de chaque collectivité et le poids des engagements respectifs.
Réaliser une simulation prospective pour définir des projets, apprécier les besoins en ressources pour l’exercice des compétences de la nouvelle entité et définir le budget de chaque commune.

– Droits et libertés des communes :
La question se pose aussi sur l’avenir de la fonction de maire. Si les compétences d’aménagement et de développement de la commune sont dans les mains de l’intercommunalité, quel rôle va-t-il rester au maire et au conseil municipal?

La commune doit rester décisionnaire sur tout sujet présentant un intérêt communal et ne doit déléguer que les actions qui concernent l’intercommunalité. Par exemple, le maire de Préaux à bien compris le danger et le conseil municipal de Préaux, ayant pris connaissance de l’évolution des dossiers en matière de fusion de communautés de communes et d’éoliennes, a notifié son refus de déléguer au Pays de Valençay, toute rédaction du Schéma de cohérence d’occupation territoriale (Scot) et toute instruction des permis de construire à venir. Il faut donc maintenir la clause de compétence générale de nos communes pour éviter un déséquilibre dans la structuration de la future intercommunalité et un risque d’abandon et de sous-développement de nos territoires ruraux.

– Représentation des citoyens par l’élection des délégués de la future CdC :
Le fonctionnement de la CdC doit s’adapter aux nouvelles attentes des citoyens, qui veulent prendre part aux décisions qui engagent l’avenir de leurs communes. Le mode de scrutin actuel et le manque de proportionnelle est défavorable à une démocratie participative et à tout débat public. Les délégués de la Communauté de Communes étant élus par les maires et conseillers municipaux, on retrouve les mêmes aux commandes. Ce n’est pas le projet de loi avec un système de fléchage pour les communes de plus de 500 habitants qui changera la donne et qui permettra de restaurer la confiance entre élus et citoyens.

Concernant les intercommunalités, l’article 2 prévoit l’élection au suffrage universel direct des conseillers communautaires, qui seront désignés en même temps que les conseillers municipaux par le biais d’un système de  » fléchage « . L’article 3 modifie, quant à lui, les règles de fixation du nombre et de la répartition des sièges au sein des conseils communautaires. Les dispositions de ces deux articles entreraient en vigueur lors du prochain renouvellement général des conseils municipaux, en mars 2014. Corrélativement, les articles 16 à 30 visent à achever et à rationaliser la carte de l’intercommunalité d’ici au 31 décembre 2013.

Notez que si les élections municipales sont prévues en 2014, le gouvernement a abrogé la création du conseiller territorial et fixe en 2015 le terme du mandat des conseillers généraux et régionaux élus en 2008 et en 2011 et celui des conseillers régionaux élus en 2010.

Institué en 1871, le renouvellement par moitié des conseillers généraux est supprimé au profit d’un renouvellement intégral.

Le projet de loi définit un nouveau mode de scrutin pour les conseillers généraux, qui s’appelleront désormais « conseillers départementaux » (le conseil général devenant « conseil départemental »).

Le nombre d’élus restant inchangés, la carte cantonale de chaque département devra être modifiée afin de permettre l’élection de deux conseillers départementaux par canton et d’améliorer leur représentativité démographique.

A lire les articles de La Nouvelle République :

Oui à une grande communauté, en 2014
Le conseil municipal de Fontguenand, réuni lundi 15 octobre, a pris les décisions suivantes.
Communautés de communes. Le conseil approuve le projet de fusion des CDC du Pays d’Écueillé et de Valençay, mais en demande le report au 1er janvier 2014, considérant la date initialement prévue (1er janvier 2013) « trop proche pour la mise en place administrative et financière ».
Bassin du Fouzon. Les conseillers demandent le temps de la réflexion pour statuer sur le projet d’étude de Delphine Lartaux portant sur les travaux envisageables pour la réhabilitation des cours d’eau à l’horizon 2020. Cette étude concernerait les 221 km de rivières du secteur.
NR du 23/10/2012

Langé, Intercommunalité : le conseil confirme son refus
Au cours de sa dernière réunion, vendredi soir, le conseil municipal de Langé a pris les décisions suivantes.
Communautés de communes d’Écueillé et de Valençay. Le conseil confirme ses décisions précédentes sur ce projet de fusion entre les communautés de communes d’Écueillé et de Valençay : il en refuse tant le principe que la globalité.
Syndicat mixte du pays de Valençay. Les conseillers votent la compétence au syndicat d’adhérer au Scot (Schéma de cohérence d’occupation territoriale)
NR du 16/10/2012

Au conseil municipal de Pellevoisin du 5 octobre 2012
Projet de fusion entre les communautés de communes des Pays d’Écueillé et de Valençay :
Le conseil émet un avis défavorable au projet de statuts et s’oppose à une fusion effective au 1er janvier 2013 ; sollicite un report de la date d’entrée en vigueur au-delà des élections municipales de 2014.
NR du 15/10/2012

Valençay, Intercommunalité : le conseil approuve le nouveau périmètre
Au cours de sa dernière réunion, le conseil municipal de Valençay a pris les décisions suivantes.
Contrat de pays de Valençay. Le conseil municipal approuve la prise de compétences du Schéma de cohérence territoriale (Scot) rurale par le pays de Valençay et valide le projet de périmètre, moins la commune de Vineuil.
Communautés de communes des pays de Valençay et d’Écueillé. Le conseil approuve le périmètre de la nouvelle communauté de communes, mais sollicite un report de la date d’entrée en vigueur de l’arrêté préfectoral au 1er janvier 2014.
NR du 15/10/2012

Au cours de sa dernière réunion, en date du 8 octobre, le conseil municipal de Luçay-le-Mâle a pris les décisions suivantes.
Fusion des communautés de communes de Valençay et d’Écueillé. Le conseil accepte le principe et le périmètre, mais demande le report de l’échéance fixée du 1er janvier 2013 au 1er janvier 2014, considérant un manque d’informations et de temps pour l’organisation d’un tel projet tant au niveau compétences, administratif, technique, matériel et financier.
NR du 15/10/2012

Faverolles. Les travaux des élus
Au cours de sa dernière réunion, en date du 1er octobre, le conseil municipal de Faverolles a pris les décisions suivantes.
Communauté de communes. Le rapport d’activités 2011 est lu. Concernant la mise en œuvre du Schéma départemental de coopération intercommunale (Scot), il demande le report du 1er janvier 2013 au 1er janvier 2014 de la date d’entrée du projet de fusion entre les communautés de communes des pays de d’Écueillé et de Valençay.
Syndicat mixte du Pays de Valençay. Les statuts changent pour intégrer la compétence d’élaboration, de gestion et de suivi du Scot. Le conseil approuve et valide le projet de périmètre du Scot à l’échelle du Syndicat mixte du pays de Valençay, sans la commune de Vineuil.
NR du 15/10/2012

Intercommunalité : attendre pour conclure le mariage
En l’absence, pour raison de santé de Jean-Luc Garnier, le conseil de La Vernelle, réuni autour de Christian Jaqcuin, a pris les décisions suivantes :
Intercommunalité. Les conseillers, approuvent le périmètre de dix-neuf communes issues de la fusion des communautés de communes du Pays de Valençay et d’Écueillé. Considérant le délai du 1er janvier 2013, trop court pour la mise en place de cette fusion, la répartition des nouveaux statuts, la connaissance de l’état financier et pour les modalités de répartition des sièges de délégués, le conseil sollicite le délai d’un an portant la date de ce mariage au 1er janvier 2014.
NR du 11/10/2011

La fusion avec Valençay attendra
Le conseil municipal d’Écueillé s’est réuni, jeudi soir, et a pris les décisions suivantes.
Communauté des communes. Le conseil donne un avis défavorable pour la fusion de la communauté de communes du Pays d’Écueillé avec la communauté de communes du Pays de Valençay, au 1er janvier 2013. Le conseil sollicite un report au 1er janvier 2014 afin de disposer des délais nécessaires pour effectuer les formalités administratives, matérielles et financières pour la fusion des deux communautés.
NR du 09/10/92012

Oui à la fusion des CDC, mais plus tard
Le conseil municipal de Vicq-sur-Nahon, réuni mercredi, a pris les décisions suivantes
Intercommunalité. Ayant examiné le projet de fusion des communautés de communes des Pays de d’Écueillé et Valençay, le conseil en a validé le périmètre. Mais il sollicite un délai d’un an « afin d’en développer la cohérence et d’en fixer les modalités ». Le conseil conteste le nombre des représentants des communes et estime « ne pas disposer du temps nécessaire pour approuver les compétences des signataires de cette fusion ». Il demande que cette fusion soit reportée au 1er janvier 2014.
NR du 09/10/2012

Fusion CDCE et CDCV.
Le conseil municipal de Villegouin s’est réuni, hier, et a pris les décisions suivantes.
Un report au 1er janvier 2014 est sollicité, pour la fusion des deux communautés d’Écueillé et de Valençay.
NR du 09/10/92012

NR du 06/10/2102

Intercommunalité : mariage reporté
Le conseil municipal de Veuil, réuni mardi soir, s’est prononcé sur les points suivants.
Fusion des communautés de communes de Valençay et d’Écueillé. Sur ce projet, considérant l’impossibilité pour la communauté de communes du pays d’Écueillé de rester isolée, le conseil accepte le principe et le périmètre, mais ne veut pas signer de chèque en blanc. Les élus ont demandé quelques précisions, tant sur les futures compétences, que sur le nombre de délégués, estimant qu’il serait anormal que des communes de soixantaine d’habitants soient représentées comme celles de 700, par un seul représentant. De ce fait et sur d’autres détails d’organisation, le conseil a voté le report de ce mariage au 1er janvier 2014.
NR du 06/10/2012

La vernelle –  Intercommunalité : attendre pour conclure le mariage
Intercommunalité. Les conseillers, approuvent le périmètre de dix-neuf communes issues de la fusion des communautés de communes du Pays de Valençay et d’Écueillé. Considérant le délai du 1er janvier 2013, trop court pour la mise en place de cette fusion, la répartition des nouveaux statuts, la connaissance de l’état financier, et pour les modalités de répartition des sièges de délégués, le conseil sollicite le délai d’un an portant la date de ce mariage au 1er janvier 2014.
NR du 11/10/2012

2017-02-05T18:54:21+01:00décembre 25th, 2012|Politique|Commentaires fermés sur Intercommunalité entre CdC de Valençay et Ecueillé

Eoliennes sur la CdC du pays d’Ecueillé – suite

J’ai suivi attentivement, depuis 2007, les projets éoliens dans le Boischaut nord et depuis quelques mois je note un changement de position de la part de nos élus et une réelle prise de conscience des habitants. Si la communauté de communes de Valençay est sortie du Schéma Régional Eolien, on ne peut se cacher que c’est grâce à l’action de l’association L2Rien qui a réussi à convaincre élus et population. Sur la Communauté de Communes d’Ecueillé, à ce jour, seule la commune de Préaux grâce à son maire et Conseiller Général Christian Simon est opposée à l’installation de parcs éoliens. On attend toujours le résultat du recours de la mairie au TA contre l’inscription de Préaux au Schéma Régional Eolien du 21 juin dernier.  La mobilisation  de l’association « Vivre en Boischaut nord  » et la réunion à Villegouin le 13 novembre dernier vont peut-être changer la donne.

L’article de la NR :

L’association Vivre en Boischaut-Nord a réuni 1.000 signatures contre le projet éolien en Pays d’Écueillé. Quelle suite donnera-t-elle à cette mobilisation ?

« Nous déposerons dans les prochains jours un dossier auprès du préfet de l’Indre, annonce Hélène Deroux, secrétaire et porte-parole de l’association Vivre en Boischaut Nord. L’objectif, c’est d’attirer son attention sur le déséquilibre évident entre les avantages du projet : ajouter quelques mégawatts produits par des éoliennes poussives à faible rendement, implantées dans la zone du département restée jusqu’ici vierge de toute industrialisation, pour essayer d’atteindre des objectifs de production éolienne affichés par la Région, 2.500 MW en 2020, jugés aujourd’hui par tous les observateurs comme «  optimistes, au vu de la force des vents dans ce secteur  » et les inconvénients : un mitage irréversible et irrémédiable d’une des dernières zones naturelles de notre département, jugée propice à l’éolien, non pas en raison de son potentiel de vent, mais uniquement en raison de la faible densité de sa population. En clair : moins on est nombreux à occuper un territoire, moins ce territoire mériterait protection… »
Le projet du Parc éolien du Pays d’Écueillé concerne seize éoliennes. Pour Hélène Deroux, le nombre des signatures recueillies en un temps record démontre bien un constat selon lequel « les élus locaux qui se sont prononcés en faveur du projet en raison de l’adhésion des populations de leurs communes, ont pris position sur un sujet fondamental pour l’avenir de leurs électeurs sur la base d’un postulat erroné ».

NR du 04/12/2012

2015-01-07T00:53:22+01:00décembre 5th, 2012|Eolien|Commentaires fermés sur Eoliennes sur la CdC du pays d’Ecueillé – suite

Un centre de stockage de déchets radioactifs dans l’Indre – suite

Après l’article de la Nouvelle république du 29/11/2011, pas très rassurant, la rédaction fait marche arrière, et essaie de calmer le jeu, le NPA, lui enfonce le clou.

A lire aussi la réaction d’Europe Ecologie de l’Indre

NR Neuvy-P1 NR Neuvy P2

L’article de la NR du 01/12/2011

DECHETS NUCLEAIRES MILITAIRES DANS L’INDRE : LA SUITE !

Le Nouveau Parti Anticapitaliste a été le premier à réagir à la demande par l’armée de l’ouverture d’un centre de tri et de stockage de déchets nucléaires dans l’Indre à Neuvy-Pailloux. L’armée, par la voix du Colonel BERNARD, commandant de la BSMAT a essayé bien entendu de minimiser les choses dans la presse…

Le NPA a aussitôt répondu, voir ci-dessous  :

Dans l’édition de la NR du 29 Novembre, le colonel BERNARD, commandant de la BSMAT, déclare que « le centre national de tri et d’entreposages de déchets » dont va hériter (sic) sa base « ne sera pas une infâme poubelle nucléaire à ciel ouvert ». Il affirme que les déchets « seront repris par l’Agence Nationale pour la gestion des déchets radioactifs (ANDRA) » et bien entendu, se voulant rassurant, que tout est sous contrôle. Aucun risque possible !

Il convient donc de se reporter au dossier d’avis de l’autorité environnementale. Cette autorité observe notamment que « ne sont pas abordées dans le dossier les mesures pour supprimer, limiter ou compenser les inconvénients de l’installation, ni les méthodes utilisées pour évaluer les effets de l’installation sur l’environnement ». Elle recommande également de « compléter les études relatives au rejet des eaux pluviales, des eaux usées et des eaux industrielles… et d’évaluer les effets sur les deux cours d’eau (la Vignole et le Sainte-Fauste) et sur la nappe d’eau souterraine »…

Etudes non faites… tout à fait rassurant on vous dit !

On peut lire également que « par ailleurs, les déchets entreposés ne sont pas caractérisés par rapport à leur activité (faible, moyenne ou haute ?) et à leur prériode (vie courte ou vie longue ?) », mais encore que, dans l’étude, l’impact des dépôts de plomb 210 n’est pas quantifié, ni celui de l’incorporation du polonium 210 dans la châine alimentaire, ni les rejets de Krypton 85…

Vous êtes un peu plus rassurés ?

Concernant la reprise des déchets par l’ANDRA, dont nous assure le Colonel BERNARD, on peut lire dans le rapport d’assistance à maitrise d’ouvrage, que cet organisme émet un avis négatif quant à leur réception, sauf s’ils répondent à certains critères trés précis, que seule l’ANDRA serait en mesure de fixer au cas par cas (! ).En effet, « ces déchets radifères dans leur ensemble ne peuvent pas être directement pris en charge dans des filières de gestion à long terme ; aussi est-il nécessaire de des entreposer en attendant »… et pourquoi pas à Neuvy-Pailloux ? Une poubelle, non ?

Ce rapport,qui ne peut que continuer à nous rassurer, indique que « cette activité d’entreposage conduira trés probablement au marquage de l’environnement par le tritium, même correctement confiné, compte tenu de la grande diffusivité des déchets triés » Enfin, précisons que même si ce centre n’est qu’au niveau de projet, paraît-il, l’annexe au projet de loi de finances pour 2012 prévoit les crédits (pour un stockage « temporaire » de 25 ans minimum !).

Le NPA appelle donc la population à ne pas se laisser endormir par les belles phrases rassurantes du lobby pro-nucléaire, qu’il soit civil ou militaire, et à se mobiliser en masse contre ce centre de Neuvy-Pailloux.

2017-02-05T18:54:21+01:00décembre 2nd, 2012|Nucléaire|Commentaires fermés sur Un centre de stockage de déchets radioactifs dans l’Indre – suite

La polémique des seize éoliennes d’Écueillé

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L’association Vivre au Boischaut-Nord a recueilli près de 500 signatures contre l’implantation d’un parc éolien sur le territoire du Pays d’Écueillé.

Ils le disent. Ils ne sont pas des Don Quichotte guerroyant contre de fantomatiques moulins à vent. Ils sont encore moins des « anti-éoliens primaires ». Mais devant ce qu’ils dénoncent « comme un mitage du territoire sans aucune logique que celle du profit et encore… », ils se sont regroupés sous la bannière Vivre au Boischaut-Nord. Deux cents adhérents au total qui, depuis août dernier, ont recueilli sur leur pétition, quasi 500 signatures. « Nous refusons que soient implantées des éoliennes là où nous vivons pour des raisons évidentes : notre territoire, celui de la Communauté de communes du pays d’Écueillé, est situé en zone 2. Ce qui veut dire qu’il n’y a pas de vent », argumente Hélène de Roux, porte-parole du collectif. Un constat explicite d’EDF et de l’Ademe, repris sur le site de la préfecture de l’Indre : « Le contexte de l’Indre est moins favorable à l’implantation d’éoliennes. Mais la faible densité de population et le caractère dénudé des paysages de certaines zones du département éveillent les intérêts des promoteurs ».

Les élus ont-ils été séduits ?
Les maires ont donné leur blanc-seing, sauf celui de Préaux. « Mais la population ? »,interroge Hélène de Roux qui s’étonne du peu de représentativité lors de l’enquête publique qui date de 2006. Les retombées économiques pour l’Indre ? « Ridicules ! Gamesa qui entretient plusieurs parcs éoliens en France n’emploie que trente personnes en France. Et le prix payé par EDF pour les Kwatts produits, une misère pour les communes », fustige Hélène de Roux qui en appelle aux politiques. « Les éoliennes industrielles doivent rester concentrer là où il y a du vent et dans des zones déjà équipées industriellement. Ceux qui font commerce de l’éolien, et il ne faut pas se cacher la face, il y a derrière tout cela, des histoires de gros sous et de niches fiscales, ceux-là, minimisent l’impact sonore et visuel. Et l’on voudrait saupoudrer notre territoire de ces éoliennes », tonne la porte-parole. Hélène de Roux argumente :« Nous avons la chance d’être à une heure de Paris, un endroit privilégié, dans lequel le développement du tourisme vert peu être une réalité. On peut imaginer un couloir de respiration entre la Sologne et la Brenne. Parce que franchement, imagine-t-on sérieusement que des touristes auront envie de traverser un site barré d’éoliennes ».La bataille sera rude et Hélène de Roux le sait. Mais chaque jour, elle prend son bâton de pèlerin pour expliquer la position de l’association qui organise, mardi soir, une réunion (lire ci-dessous).

à suivre

Afin de faire comprendre les enjeux, l’association Vivre au Boischaut-Nord organise, aujourd’hui, à 19 h, une réunion publique à la salle des fêtes de Villegouin. L’association invite les habitants mais également les élus à venir écouter plusieurs professionnels dont un scientifique, un notaire, etc.

NR du 13/11/2012

2017-02-05T18:54:22+01:00novembre 14th, 2012|Eolien|Commentaires fermés sur La polémique des seize éoliennes d’Écueillé

Réunion publique sur les projets éoliens en Boischaut nord

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L’association « Vivre en Boischaut nord » organise une réunion d’information sur les projets éoliens dans la communauté de communes d’Ecueillé.

La réunion a lieu à la salle des fêtes de Villegouin le mardi 13 novembre 2012 à 19 heures.

Venez nombreux pour prendre connaissance des projets et vous mobiliser pour éviter que le Boischaut nord ne soit sacrifié.

Lien avec l’article de la NR du 13/11/2012

2017-02-05T18:54:22+01:00novembre 12th, 2012|Eolien, Non classé|Commentaires fermés sur Réunion publique sur les projets éoliens en Boischaut nord

Déchets : le conseil général fâche les écologistes

DSC5427ovCréation du casier B sur le centre de stockage de déchets ultimes de la COVED à Le Tranger/Châtillon

Le Plan départemental d’élimination des déchets ménagers et assimilé dans l’Indre, voté en juin, ne convient pas du tout aux représentants d’Europe Écologie – Les Verts.

Au début de l’année, le Plan départemental d’élimination des déchets ménagers et assimilé (Pdedma) était passé à la moulinette d’une commission d’enquête, qui n’avait pas été tendre avec le conseil général (lire ci-dessous). Cette fois, ce sont les représentants d’Europe Écologie – Les Verts qui s’y collent, sur le tard, puisque le plan a été définitivement voté en juin. « Nous n’avons pas d’élus au conseil général et nous avons beaucoup de mal à accéder aux informations importantes, reconnaît Dominique Viard, membre de bureau. Mais nous l’avons épluché et il comporte des choses qui dérangent. Il y a, certes, des objectifs chiffrés : – 7 % en 2015 pour les déchets ménagers, – 18 % en 2020 par exemple. »

Mais, pour les écologistes, le conseil général reste flou quant aux moyens pour inciter les collectivités territoriales à améliorer leur traitement des déchets, pour tendre vers la baisse des déchets finaux, ceux qui ne pourront pas être retraités et qui seront donc enfouis. « Si on laisse faire les collectivités, est-ce que ça avancera ? » demande Patricia Danguy, écologiste, adjointe au maire du Poinçonnet. « Rien ne nous dit si on va continuer à enfouir des téléviseurs, conclut Dominique Viard. Autre interrogation, on nous a dit officiellement que les capacités du centre d’enfouissement de Gournay devaient être taries en juin, 7 ans plus tôt que prévu ! Le centre a demandé une extension, et pourtant les déchets arrivent toujours, on ne comprend pas. »
Pour finir, l’extension du centre d’enfouissement de Châtillon-sur-Indre a été autorisée. Une fois l’extension de Gournay confirmée, la capacité en enfouissement passerait à 170.000 t par an. L’objectif fixé pour les besoins de l’Indre, en 2020, c’est moins de 100.000 t. Pour les écologistes, deux conséquences : soit l’objectif ne sera pas tenu, soit l’Indre attirera davantage de déchets provenant d’autres départements.

repères
> Enquête publique. Le rapport était clairement défavorable : « Les orientations et objectifs n’apportent pas de solutions concrètes, laissant le champ libre aux structures de collecte et de traitement. Le plan ne comporte aucun objectif sur le nombre, les aires géographiques et les modes de collecte des structures de collecte. » Une source proche des commissaires enquêteurs est lapidaire : « Les décideurs se sont carrément assis sur les conclusions de l’enquête publique et n’en ont pas du tout tenu compte. »

Alexandre Larue
2017-02-05T18:54:22+01:00octobre 31st, 2012|Environnement|Commentaires fermés sur Déchets : le conseil général fâche les écologistes

A quand la fibre optique pour la CdC d’Ecueillé ?

Pas pour demain ! Si le Conseil Général a bien développé l’ADSL, à nos frais, avec l’ouverture de 21 sous-répartiteurs (NRA-ZO), pour 1330 foyers, cela a permis de raccorder les zones rurales à des lignes pas encore éligibles à l’ADSL, il reste le problème du débit, le coût de l’abonnement et le monopole d’Orange, qui empêche le dégroupage. Dans le Boischaut nord le débit disponible s’étend de 512 kbits à 3 Mbits selon la longueur de la ligne téléphonique. Plus l’utilisateur est localisé loin du NRA(1), plus la perte de débit est significative et ce débit est plus que limité pour une utilisation personnelle et inutilisable pour une activité professionnelle, comparé au 20 Mbits que l’on trouve dans les grandes villes.
Avant le projet de mise en place du très haut débit, par fibre optique, enjeu majeur pour le développement économique de l’Indre, que l’on ne verra malheureusement pas avant 2020, une solution existe, remplacer le cable de cuivre qui arrive au NRA par une fibre optique comme à Pellevoisin et Villegouin. A quand les autres communes de la CdC ?
L’autre problème est celui du coût d’une connection ADSL, en plus d’un abonnement que l’on paye bien cher pour un débit ridicule (entre 30 et 45 €) le monopole de fait de France Telecom bloque le dégroupage et nous oblige à supporter le coût de l’abonnement téléphonique  (15 € par mois). On a donc pour environ 50 € par mois un débit inférieur de 6 à 20 fois et un prix 2 fois plus cher par rapport aux habitants de Châteauroux.
Pourquoi investir tout de suite dans la fibre optique ? :
– Ouverture de la concurrence par un dégroupage total à partir du central
– Un meilleur débit avec en plus la TV par la fibre pour les zones qui ne reçoivent pas ou mal la TNT, c’est-à-dire la grande majorité du département
– L’installation de nouveaux habitants, type rurbain
– La possibilité pour les TPE/PME de réinvestir nos campagnes
– L’ouverture à de nouveaux services : télémédecine, télé-travail, télé-achat, téléchargement musique, vidéo à la demande, banque d’images en ligne, etc…
– Avec le dégroupage, l’accés a l’illimité sur lignes fixe et portable
1 – Noeud de Raccordement des Abonnés. Point nodal du réseau téléphonique de France Telecom, central à partir duquel les paires de cuivre vont desservir chaque foyer, chaque entreprise pour la fourniture du service téléphonique. C’est au niveau du NRA que sont générés les signaux ADSL.
A lire, les articles de la NR :
Pellevoisin – Augmentation des débits ADSL
Jeudi soir, la population de Pellevoisin était conviée à une réunion d’information sur l’augmentation des débits ADSL, avec Christophe Beauvais, directeur des relations avec les collectivités locales de l’Indre et du Cher pour France Telecom Orange. Le remplacement du câble en cuivre alimentant le central de la commune par une fibre optique, réalisé sur les fonds propres de France Telecom Orange, constitue une nouvelle étape dans l’action de modernisation du réseau téléphonique entreprise par le groupe dans le département de l’Indre. Cette technique augmente les débits ADSL disponibles pour les lignes des foyers de la commune raccordées sur ce central.Ainsi, près de 94 % des foyers (environ 560 lignes) accèdent à des débits pouvant atteindre 8Mb/s et plus de 78 % (360 lignes) bénéficient d’un accès jusqu’ à 20 Mb/s. Pour bénéficier de cette montée en débit, il est nécessaire d’en faire la demande auprès de son opérateur.
NR du 15/10/2012

Villegouin – La commune dans l’oeil du Net
Une bonne nouvelle, le département de l’Indre a élaboré un schéma directeur territorial d’aménagement numérique (SDTAN).
Ce schéma vise, entre autres, l’accessibilité au très haut débit par fibre optique de 70 % des prises du département à l’horizon 2020.
Le département a créé avec la Cac, le syndicat mixte Rip 36 pour mettre ce schéma en œuvre. Le concours de la Communauté de communes du Pays d’Écueillé a été validé. Elle participera financièrement à hauteur de 13 % du coût des travaux de pose d’une fibre optique reliant le sous-répartiteur sur la commune et le répartiteur principal situé à Pellevoisin.
La zone de Villegouin peut faire l’objet de travaux, environ 150 lignes sont concernées sur le territoire communal. Les abonnés verront augmenter très fortement leur débit Internet, la fibre optique permettant d’éliminer l’affaiblissement dû à la distance.
Le dossier de réalisation des travaux est en cours et les habitants de Villegouin devraient d’ici peu surfer rapidement sur le Net.
NR du 11/10/2012
2017-02-05T18:54:22+01:00octobre 16th, 2012|Actualités|Commentaires fermés sur A quand la fibre optique pour la CdC d’Ecueillé ?

Guide de recommandations concernant les éoliennes dans l’Indre

Le guide qui n’avait pas été mis à jour depuis des années a été retoqué fin juin 2012. Pas de grand changement, les services préfectoraux, à les lire, ne semblent pas très favorables à l’éolien et je ne résiste pas à rappeler la conclusion de la préfecture :

« Il convient de rappeler que le potentiel éolien dans le département est relativement faible. » Va comprendre…

Aujourd’hui, les éoliennes produisent dès que la vitesse du vent atteint 15 km/h et jusqu’à 90 km/h. Leur rendement devient optimal à partir de 50km/h.
Les régions les plus concernées, car offrant le potentiel le plus important, sont le Nord-Pas-de-Calais, la Bretagne et le Languedoc-Roussillon. Moins venteux, le contexte météorologique de l’INDRE est moins favorable à l’implantation d’éoliennes, mais la faible densité de population et le caractère dénudé du paysage dans certaines zones du département éveillent l’intérêt des porteurs de projets.
Dans le département de l’Indre, quelques projets sont déjà en cours d’étude et certains ont d’ailleurs fait l’objet d’une publicité par voie de presse.
Dans ce contexte et considérant qu’il convient d’assurer la préservation de notre patrimoine paysager, la Direction de l’Architecture et du Patrimoine a adressé aux Préfets de Départements et aux Chefs de Services Départementaux de l’Architecture et du Patrimoine une note méthodologique concernant l’implantation d’éoliennes.

En effet, la nature même des éoliennes leur confère deux caractéristiques qui expliquent leur impact sur le paysage :

  • d’une part, il s’agit de constructions très élevées, puisque les projets actuels atteignent et dépassent quatre-vingts mètres. Certaines éoliennes mesurent même cent mètres de hauteur.
  • d’autre part, elles doivent être implantées dans des zones exposées au vent, qui sont souvent des sites dégagés offrant des perspectives intéressantes.

Pour ces deux raisons, les éoliennes sont, le plus souvent, visibles de très loin. Si les conditions de visibilité dépendent naturellement du site, on estime qu’une éolienne de cent mètres de haut peut se voir jusqu’à trente kilomètres. Cet aspect est d’autant plus préoccupant que les éoliennes seront à l’avenir de plus en plus implantées en parcs de plusieurs machines, pour des raisons d’efficacité énergétique.
L’exploitation des sources d’énergie renouvelables est appelée à contribuer de plus en plus à la satisfaction des besoins en électricité. Parmi celles-ci, l’énergie éolienne connaît aujourd’hui un essor spectaculaire au niveau mondial. En conséquence, les projets d’implantation de fermes éoliennes se multiplient et soulèvent de nombreuses questions quant à l’instruction des dossiers.
La DDE de l’Indre a organisé une réunion des différents services de l’état et des partenaires concernés par ces implantations, à l’issue de laquelle certaines propositions ont émergé et, notamment, l’examen de tous les projets par la Commission des Sites, Perspectives et Paysages et la Mission Interministérielle de l’Aménagement et du Développement du Territoire, ainsi que l’élaboration d’un guide destiné essentiellement aux élus locaux et porteurs de projets.
Il convient de rappeler que le potentiel éolien dans le département est relativement faible. C’est pourquoi le document ci-joint a la seule ambition de rappeler, sur la forme comme sur le fond, les conditions auxquelles les projets doivent répondre en vue de leur autorisation. Le respect de ces conditions par l’ensemble des porteurs de projet doit permettre un développement raisonné et harmonieux des installations éoliennes dans le département.

Lien avec l’article de la préfecture de l’Indre
application/pdf Guide de recommandations concernant les éoliennes dans l’Indre 262,84 kB | 14/12/2011

2017-02-05T18:54:22+01:00octobre 15th, 2012|Eolien|Commentaires fermés sur Guide de recommandations concernant les éoliennes dans l’Indre

ZDE dans l’Indre : nos élus favorables ou défavorables ? Suite…

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Pas d’éoliennes dans le ciel de la commune
Lors de sa dernière réunion, vendredi soir, le conseil municipal de Langé a pris les décisions suivantes.

Énergie. Le maire a présenté la version définitive du Schéma régional éolien, adopté le 21 juin par le conseil régional, dans laquelle sont listées les communes dont le territoire est concerné en tout ou partie par une zone favorable au développement de l’énergie éolienne. Les communes de Langé, Luçay-le -Mâle et Vicq-sur-Nahon en sont définitivement exclues.

NR du 08/08/2012

ZDE sur Clion/Indre et Murs
Réuni mercredi 12 septembre, le conseil municipal du Tranger a pris les décisions suivantes.
Zone de développement de l’éolien. Avis favorable des élus pour la création d’une ZDE sur les communes de Clion-sur-Indre et de Murs.
Conseil communautaire. Il accepte le principe de représentativité tel qu’il est prévu dans la communauté de communes qui devrait voir le jour prochaine

NR du 25/09/2012

Le conseil communautaire dit oui aux éoliennes de Saint-Martin
Au cours de sa dernière réunion, jeudi soir, le conseil communautaire de la communauté de communes de la région de Levroux a pris les décisions suivantes.

Création d’une zone de développement éolien. Par délibération du 14 avril 2011, un avis favorable (sous réserve de la signature par les sociétés SAS Volkswind et SARL Enéole) a été donné sur une convention fixant les modalités de prise en charge de la remise en état des voiries communautaires utilisées, dans le cadre du projet de construction d’éoliennes sur la commune de Saint-Martin-de-Lamps. Le conseil (5 voix contre, 5 abstentions et 17 pour), cette fois, donne un avis favorable à la création de la zone de développement de l’éolien.
NR du 3/10/2012

Programme éolien : une réunion d’information
Dans le cadre du développement du projet éolien de Montrésor, la société Eole-Res et la commune de Nouans-les-Fontaines organisent pour les Nouanais une réunion publique d’information, jeudi 11 octobre, à 19 h, dans la salle des fêtes. A l’ordre du jour : l’historique du projet, son cadre réglementaire ; les études réalisées, le projet final et les photos-montages. Les équipes d’Eole-Res, chargées de la conception du projet, seront présentes pour répondre à toutes les questions de l’auditoire.
Contact : mairie,
tél. 02.47.92.62.09
NR du 3/10/2012

Projet éolien : un débat serré
Cent personnes, environ, dont à peine la moitié de Nouanais, ont participé, jeudi dernier, à la réunion publique initiée par le maire et le conseil municipal, pour la présentation du projet d’implantation d’un parc éolien sur le territoire de Nouans-les-Fontaines (voir le détail ci-dessous). Le secrétaire général Mickaël Morel a résumé l’action de la communauté de communes de Montrésor dans ce dossier : en 2008, prise de la compétence « éolien » ; détermination sur le canton des périmètres de deux zones de développement éolien (ZDE) à Orbigny (sans suite) et à Nouans-les-Fontaines ; en 2010, dépôt de demande pour cette seconde ZDE en attente de validation par la direction régionale de l’équipement, l’aménagement et du logement. (Dreal) et le préfet d’Indre-et-Loire ; en 2012, accord du conseil municipal (10 voix pour et 2 contre).
Le projet. Pendant plus d’une heure, Thierry Daugeron, chef de projet, et quatre de ses collègues, techniciens de la société Éole-Res (1) ont présenté le projet sous tous ses aspects, les différentes étapes de leur démarche et les nombreux éléments (environnement, réglementation, foncier, techniques…) qu’ils ont pris en compte pour le choix de l’implantation de ce parc de six éoliennes afin de « l’insérer au mieux dans le cadre du département ». 80.000 € de taxes seraient versées, chaque année, réparties entre la CCM et la commune.
Les inquiétudes. Cette présentation a suscité de nombreuses questions conduisant à un échange sans complaisance d’arguments entre les techniciens de la société Éole-Res et le public, au sein duquel des représentants d’associations (Association environnementale du Sud Touraine, l’Air de rien, Vent de colère…) qui militent contre l’implantation des parcs éoliens. Ils ont dénoncé toutes les nuisances (visuelles, sonores…) potentiellement engendrées par ces installations, pointant ce qu’ils estiment être leur impact négatif sur l’environnement, l’immobilier, les recettes fiscales des communes ainsi que leur faible rendement dû à leur production aléatoire.
Ayant entendu tout cela, pendant une heure et demie, les habitants de la commune présents ont pu se faire une idée peut-être plus précise du projet. Chacun pourra, dans les prochains mois, donner son avis et formuler ses observations au cours de l’enquête publique qui sera organisée début 2013.

(1) Éole-Res : société créée en 1995, 100 employés, 20 parcs éoliens réalisés dont un offshore (en mer)…

repères

> Où ? Le site retenu pour le parc éolien est La Croix-Blanche, entre Cloffy, Rochas et Les Ebatées, entre D 675 et D 9.
> Quoi ? Deux éoliennes de 130 m et quatre de 125 m, de 2 mégawatts chacune.
> Combien ? Production : 24.000 kWh/an.
> Quand ? Planning prévu : permis de construire fin 2012, enquête publique avril 2013, autorisation fin 2013, construction en 2014 et mise en service début 2015.

NR du 17/10/2012

2017-02-05T18:54:22+01:00octobre 6th, 2012|Eolien|Commentaires fermés sur ZDE dans l’Indre : nos élus favorables ou défavorables ? Suite…

La fête du coing ou le coinG des gourmands à Argy le 21 octobre 2012

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Pour la quatrième édition du CoinG des gourmands,  l’Association des Amis du Château d’Argy soutenu par Martine et Michel Denisot reprend les thèmes des années précédentes :

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– Stand de marché gourmand de 10 h à 17h 30
– La présence du chef de cuisine-animateur sur M6 Cyril Lignac
– Déjeuner à la ferme du château
– Concour de recettes chez les artistes et artisans
– Recensement de vos coings par la société pomologique du Berry
– Plants de cognassier à planter dans votre jardin

Quand à la SABA elle prévoit la sortie « d’un train spécial à vapeur » pour le 21 octobre :

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là, c’est la locomotive diesel

avec un programme chargé pour les 110 ans de la ligne du Blanc-Argent entre Ecueillé et Argy :
– Rendez-vous à la gare d’Ecueillé, costumés en vêtements d’époque 1900-1920 !
– Petit déjeuner et visite de la gare d’Ecueillé
– à 10h 30 départ du train à vapeur de la gare d’Ecueillé avec animation dans les gares
– 12h 15 arrivée à la gare d’argy
– Déjeuner au château avec au menu, tartare de carpe de Brenne aux senteurs de coing, sauté de porc et sa sauce aux coings et gingembre avec son riz pilaf, clafouti au poires et coings
– Visite du château et de la fête libre
– Présentation de matériel ancien tout l’après-midi en gare d’Argy
– Retour sur Ecueillé à 16h 30 et arrivée à 18 h

Réservation obligatoire avant le 13/10/2012 au 02.54.22.19.21

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2017-02-05T18:54:22+01:00octobre 5th, 2012|Actualités|Commentaires fermés sur La fête du coing ou le coinG des gourmands à Argy le 21 octobre 2012
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